Dans un communiqué de presse, la Fnam, principale organisation professionnelle du transport aérien, déplore le nouveau mouvement social initié par les pilotes d'Air France, "d’une durée exceptionnelle et rappelle que toutes les grandes compagnies européennes développent des structures de type « lowcost » en moyen-courrier".
La Fnam ajoute qu’aujourd’hui en raison d’une règlementation historique existante (le CAC – Code de l’Aviation Civile) et des accords d’entreprise qui en découlent, "les pilotes français volent environ 20% à 25% de moins que leurs homologues européens, voire à 35% quand il s’agit de compagnies lowcost.
Ainsi, les pilotes des compagnies françaises volent environ entre 550 et 650 heures par an contre 700 à 750 heures pour les compagnies classiques européennes (de type Lufthansa, British Airways) voire 800 à 850 heures pour les compagnies type lowcost (easyJet, Ryanair)."
La Fnam ajoute qu’aujourd’hui en raison d’une règlementation historique existante (le CAC – Code de l’Aviation Civile) et des accords d’entreprise qui en découlent, "les pilotes français volent environ 20% à 25% de moins que leurs homologues européens, voire à 35% quand il s’agit de compagnies lowcost.
Ainsi, les pilotes des compagnies françaises volent environ entre 550 et 650 heures par an contre 700 à 750 heures pour les compagnies classiques européennes (de type Lufthansa, British Airways) voire 800 à 850 heures pour les compagnies type lowcost (easyJet, Ryanair)."