
A Athènes, les transports publics, bus, tramway et métro, étaient paralysés de même que le train de banlieue reliant le Pirée à l'aéroport international.
"La grève a été très bien suivie, notamment dans les secteurs des mines, de la métallurgie, des chantiers navals, des raffineries, des transports publics", a affirmé à l'AFP un responsable de la GSEE (600.000 membres), Stathis Anestis.
La compagnie aérienne nationale Olympic Airlines a annulé 50 vols dont 15 à destination de l'étranger. La situation était cependant "normale" à l'aéroport international d'Athènes Elefthéros Vénizélos "car les passagers avaient été informés", a assuré à l'AFP une porte-parole de l'aéroport.
Dans les ports, le trafic commercial et le déchargement des navires étaient paralysés en raison de la grève des employés et des dockers, a indiqué M. Anestis. Le trafic passagers se déroulait en revanche "d'une façon normale" au port du Pirée, selon un porte-parole du ministère de la Marine marchande interrogé par l'AFP.
A Athènes, les transports publics, bus, tramway et métro, étaient paralysés de même que le train de banlieue reliant le Pirée à l'aéroport international. Les trolleys ont observé un arrêt de travail de cinq heures.
Les banques publiques sont restées fermées, tandis que les entreprises du large secteur public, télécommunications, électricité, postes et eaux, tournaient avec un personnel d'astreinte, selon M. Anestis.
Athènes, ville morte
Aucun quotidien n'est paru et aucun bulletin d'information n'a été diffusé sur les radios et les télés. Les administrations et les services publics ont aussi été affectés en raison d'un arrêt de travail de quatre heures de la Fédération des fonctionnaires (200.000 adhérents) qui soutient le mouvement.
Les responsables syndicaux devaient organiser dans la soirée un grand rassemblement devant le parlement dans le centre d'Athènes. Dans la matinée, près d'un millier de syndicalistes du front syndical PAME, proche du parti communiste, avaient déjà défilé dans le centre la capitale jusqu'au Parlement.
La GSEE a lancé son mouvement de grève à l'ouverture du débat parlementaire sur un projet de réforme sur la flexibilité du temps de travail. La centrale ouvrière accuse le gouvernement conservateur de vouloir allonger le temps de travail, de réduire le paiement des heures supplémentaires et de limiter le rôle des syndicats.
Déterminé à réduire les dépenses publiques, le gouvernement a engagé ces derniers mois une série de mesures pour renforcer la productivité et le marché de travail, provoquant des grèves à répétition.
La compagnie aérienne nationale Olympic Airlines a annulé 50 vols dont 15 à destination de l'étranger. La situation était cependant "normale" à l'aéroport international d'Athènes Elefthéros Vénizélos "car les passagers avaient été informés", a assuré à l'AFP une porte-parole de l'aéroport.
Dans les ports, le trafic commercial et le déchargement des navires étaient paralysés en raison de la grève des employés et des dockers, a indiqué M. Anestis. Le trafic passagers se déroulait en revanche "d'une façon normale" au port du Pirée, selon un porte-parole du ministère de la Marine marchande interrogé par l'AFP.
A Athènes, les transports publics, bus, tramway et métro, étaient paralysés de même que le train de banlieue reliant le Pirée à l'aéroport international. Les trolleys ont observé un arrêt de travail de cinq heures.
Les banques publiques sont restées fermées, tandis que les entreprises du large secteur public, télécommunications, électricité, postes et eaux, tournaient avec un personnel d'astreinte, selon M. Anestis.
Athènes, ville morte
Aucun quotidien n'est paru et aucun bulletin d'information n'a été diffusé sur les radios et les télés. Les administrations et les services publics ont aussi été affectés en raison d'un arrêt de travail de quatre heures de la Fédération des fonctionnaires (200.000 adhérents) qui soutient le mouvement.
Les responsables syndicaux devaient organiser dans la soirée un grand rassemblement devant le parlement dans le centre d'Athènes. Dans la matinée, près d'un millier de syndicalistes du front syndical PAME, proche du parti communiste, avaient déjà défilé dans le centre la capitale jusqu'au Parlement.
La GSEE a lancé son mouvement de grève à l'ouverture du débat parlementaire sur un projet de réforme sur la flexibilité du temps de travail. La centrale ouvrière accuse le gouvernement conservateur de vouloir allonger le temps de travail, de réduire le paiement des heures supplémentaires et de limiter le rôle des syndicats.
Déterminé à réduire les dépenses publiques, le gouvernement a engagé ces derniers mois une série de mesures pour renforcer la productivité et le marché de travail, provoquant des grèves à répétition.