L'Unsa-ICNA appelle à la grève pour dimanche 20 et lundi 21 mars 2016 - Photo : © romaneau - Fotolia.com
Les contrôleurs aériens seront en grève dimanche 20 et lundi 21 mars 2016. Un mouvement lancé par l'UNSA-ICNA (Syndicat des ingénieurs du contrôle aérien).
La direction générale de l'aviation civile (DGAC) a ainsi demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 20 % à Paris-Orly, Beauvais, Lyon, Nice et Marseille pour les deux journées.
La DGAC prévoit, par ailleurs, des perturbations sur l'ensemble du territoire. Elle invite les passagers à se rapprocher de leur compagnie pour s'informer.
Dans un communiqué diffusé sur son site Internet, l'Unsa-ICNA rappelle que le secrétaire d’État aux Transports avait engagé la DGAC dans une négociation qui garantissait la prise en compte de l'ensemble des enjeux professionnels du secteur.
Cela avait notamment permis de lever plusieurs préavis de grève prévus en juin 2015.
"Force est de constater que les négociations en cours à la DGAC ne répondent pas au mandat fixé", regrette le syndicat.
Il dénonce notamment la décision de baisser les effectifs des ICNA en 2016 en faisant passer le taux de remplacement des départs de 80 à 65 %. Alors que dans un même temps "le secteur aérien retrouve une santé financière rassurante et que les compagnies aériennes renouent avec les bénéfices."
L'Unsa fait part de son souhait de poursuivre les négociations et que le gouvernement garantisse la prise en compte te le financement des missions de la DGAC.
Le service minimum sera instauré et de nombreux contrôleurs aériens seront réquisitionnés partout en France pour "continuer d'assurer le contrôle aérien d'en moyenne 50 % du trafic prévu".
La direction générale de l'aviation civile (DGAC) a ainsi demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 20 % à Paris-Orly, Beauvais, Lyon, Nice et Marseille pour les deux journées.
La DGAC prévoit, par ailleurs, des perturbations sur l'ensemble du territoire. Elle invite les passagers à se rapprocher de leur compagnie pour s'informer.
Dans un communiqué diffusé sur son site Internet, l'Unsa-ICNA rappelle que le secrétaire d’État aux Transports avait engagé la DGAC dans une négociation qui garantissait la prise en compte de l'ensemble des enjeux professionnels du secteur.
Cela avait notamment permis de lever plusieurs préavis de grève prévus en juin 2015.
"Force est de constater que les négociations en cours à la DGAC ne répondent pas au mandat fixé", regrette le syndicat.
Il dénonce notamment la décision de baisser les effectifs des ICNA en 2016 en faisant passer le taux de remplacement des départs de 80 à 65 %. Alors que dans un même temps "le secteur aérien retrouve une santé financière rassurante et que les compagnies aériennes renouent avec les bénéfices."
L'Unsa fait part de son souhait de poursuivre les négociations et que le gouvernement garantisse la prise en compte te le financement des missions de la DGAC.
Le service minimum sera instauré et de nombreux contrôleurs aériens seront réquisitionnés partout en France pour "continuer d'assurer le contrôle aérien d'en moyenne 50 % du trafic prévu".
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