Nice enregistre 150 000 mouvements par an (autant qu’à Orly mais avec l’aviation d’affaires en plus), soit près de 400 par jour auxquels s’ajoutent 50.000 mouvements d’hélicoptères par soit au total 10 millions de passagers par an.
L’aviation d’affaires progresse de 40 % depuis 4 à 5 ans et représente déjà le quart des mouvements de la plate-forme.
.Le bloc pourra traiter jusqu’à 210 000 mouvements par an. Le bâtiment près de 5.000 m2 a nécessité un investissement de 20 ME dont 5,2 ME pour le matériel et les logiciels. Le plateau technique occupe 600 m2 et la salle de contrôle d’approche 250 m2.
Le bloc technique emploie 180 contrôleurs et techniciens dont 20 pour la Corse. Depuis le premier avril la plate-forme niçoise est soumise au statut d’aéroport coordonné au même titre que Roissy, Orly et Lyon ce qui signifie que le trafic d’aviation d’affaires doit se soumettre aux créneaux d’atterrissage ou de décollage donnés par la direction de l’aéroport comme pour l’aviation commerciale.
L’aviation d’affaires progresse de 40 % depuis 4 à 5 ans et représente déjà le quart des mouvements de la plate-forme.
.Le bloc pourra traiter jusqu’à 210 000 mouvements par an. Le bâtiment près de 5.000 m2 a nécessité un investissement de 20 ME dont 5,2 ME pour le matériel et les logiciels. Le plateau technique occupe 600 m2 et la salle de contrôle d’approche 250 m2.
Le bloc technique emploie 180 contrôleurs et techniciens dont 20 pour la Corse. Depuis le premier avril la plate-forme niçoise est soumise au statut d’aéroport coordonné au même titre que Roissy, Orly et Lyon ce qui signifie que le trafic d’aviation d’affaires doit se soumettre aux créneaux d’atterrissage ou de décollage donnés par la direction de l’aéroport comme pour l’aviation commerciale.
