
J.-N. Guérini et Jacques Pfister signent la convention à l'aéroport Marseille-Provence
Après avoir affiché un trafic record en 2000, avec 6,5 millions de passagers, l'aéroport Marseille-Provence a perdu 1 million de passagers depuis 2001, victime de la concurrence du TGV Méditerranée sur l'axe Marseille-Paris.
Conscient de cet essoufflement, "le 26 juin 2003, Jean-Noël Guérini a mis au défis l'équipe de l'aéroport pour trouver un projet structurant afin de redonner un coup de fouet à la plate-forme." explique Jacques Pfister lors de la conférence de presse tenue hier. "3 mois après, un projet d'aérogare bas tarifs a été proposé au président du conseil général."
Reconquête du trafic
Décidé à jouer la carte du low cost pour redynamiser son trafic le projet franchissait hier une nouvelle étape.
J.-N. Guérini et J. Pfister ont concrétisé le financement du terminal, en signant une convention de partenariat de 3 ans (2005-2008) pour le subventionnement du projet baptisé "Marseille Provence 2". Le département a accordé une aide de 50% du montant global des travaux (hors sûreté) estimé à 15,2 millions d'euros, dans la limite de 7,6 millions d'euros.
"Nous souhaitons que l'aéroport passe à la vitesse supérieur, nous voulons le faire entrer dans le top 20 européen, mais il reste du chemin à parcourir" précise le président de la CCI.
1,8 millions de passagers low cost en 2008
L'aéroport compte ainsi développer les destinations moyen-courriers, et les liaisons avec les capitales européennes. Premier objectif : 1,8 million de passagers low cost d'ici 2008.
A noter : 600 emplois directs pourraient être créés pour chaque millions de nouveaux voyageurs utilisant ces services.
Le nouveau terminal devrait accueillir ses premiers passagers aux environs du printemps 2006. Reste les compagnies, si Air France s'est désistée, des négociations avec Ryanair et Easyjet sont actuellement en cours. Au centre des discussions... les coûts bien sûr !
Conscient de cet essoufflement, "le 26 juin 2003, Jean-Noël Guérini a mis au défis l'équipe de l'aéroport pour trouver un projet structurant afin de redonner un coup de fouet à la plate-forme." explique Jacques Pfister lors de la conférence de presse tenue hier. "3 mois après, un projet d'aérogare bas tarifs a été proposé au président du conseil général."
Reconquête du trafic
Décidé à jouer la carte du low cost pour redynamiser son trafic le projet franchissait hier une nouvelle étape.
J.-N. Guérini et J. Pfister ont concrétisé le financement du terminal, en signant une convention de partenariat de 3 ans (2005-2008) pour le subventionnement du projet baptisé "Marseille Provence 2". Le département a accordé une aide de 50% du montant global des travaux (hors sûreté) estimé à 15,2 millions d'euros, dans la limite de 7,6 millions d'euros.
"Nous souhaitons que l'aéroport passe à la vitesse supérieur, nous voulons le faire entrer dans le top 20 européen, mais il reste du chemin à parcourir" précise le président de la CCI.
1,8 millions de passagers low cost en 2008
L'aéroport compte ainsi développer les destinations moyen-courriers, et les liaisons avec les capitales européennes. Premier objectif : 1,8 million de passagers low cost d'ici 2008.
A noter : 600 emplois directs pourraient être créés pour chaque millions de nouveaux voyageurs utilisant ces services.
Le nouveau terminal devrait accueillir ses premiers passagers aux environs du printemps 2006. Reste les compagnies, si Air France s'est désistée, des négociations avec Ryanair et Easyjet sont actuellement en cours. Au centre des discussions... les coûts bien sûr !