
Le port catalan, l’un des plus fréquentés au monde pour les croisières, a accueilli 3,65 millions de passagers en 2023. Depositphotos.com Auteur irina170
La municipalité de Barcelone a annoncé jeudi un nouveau plan d’aménagement portuaire qui réduira la capacité d’accueil des navires de croisière d’ici 2030. Trois terminaux actuels vont fermer, tandis qu’un nouveau sera construit, ramenant le total de sept à cinq.
Objectif affiché : lutter contre les nuisances et mieux intégrer l’activité dans un cadre durable.
Le port catalan, l’un des plus fréquentés au monde pour les croisières, a accueilli 3,65 millions de passagers en 2023. Un chiffre en forte hausse (+20 % depuis 2018), qui alimente la colère d’une partie des habitants, de plus en plus sensibles aux effets du surtourisme.
Objectif affiché : lutter contre les nuisances et mieux intégrer l’activité dans un cadre durable.
Le port catalan, l’un des plus fréquentés au monde pour les croisières, a accueilli 3,65 millions de passagers en 2023. Un chiffre en forte hausse (+20 % depuis 2018), qui alimente la colère d’une partie des habitants, de plus en plus sensibles aux effets du surtourisme.
Barcelone : 185 millions d'euros d'investissement
Autres articles
-
Alpes-Maritimes : le préfet veut imposer des quotas pour les navires de croisière
-
Exploris : "Il y a des échanges avec des investisseurs, rien n'est finalisé" [ABO]
-
Cruisepro veut élargir l’horizon du marché français de la croisière
-
Ponant Explorations à la rencontre des agences en France et en Europe
-
Croisières Royaume-Uni : un plan de croissance pour doper le secteur
Le dernier baromètre municipal place l’activité touristique au troisième rang des préoccupations locales, dans une ville où elle représente pourtant 14 % du PIB.
Ce réaménagement, présenté comme une première limitation structurelle de la croissance du secteur, mobilisera 185 millions d’euros d’investissement publics et privés. Il s’ajoute à un plan de 265 millions déjà lancé en 2018.
L’ambition, selon la mairie et l’autorité portuaire, est de faire évoluer le port vers « les standards de qualité et de durabilité les plus exigeants ».
Ce réaménagement, présenté comme une première limitation structurelle de la croissance du secteur, mobilisera 185 millions d’euros d’investissement publics et privés. Il s’ajoute à un plan de 265 millions déjà lancé en 2018.
L’ambition, selon la mairie et l’autorité portuaire, est de faire évoluer le port vers « les standards de qualité et de durabilité les plus exigeants ».