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Menacé au pénal, Switch riposte et dénonce le rôle de la DGCCRF

vers une responsabilité pénale accrue de la profession ?


La responsabilité de la profession vis-à-vis de la clientèle vient-elle de connaître un nouveau développement ? C’est en tout cas ce que prétend Jean-Pascal Siméon, patron de Switch. Suite à l’instruction d’une soixantaine de plaintes par la DDCCRF, le procureur du tribunal de Créteil vient de requérir une peine de 10 mois de prison avec surcis et 30 000 euros d’amende contre le TO. Le délibéré est attendu en septembre. Interview.


Rédigé par Jean DA LUZ le Lundi 25 Juin 2007

Le TO sous le coup d'une une peine de 10 mois de prison avec surcis et 30 000 euros d’amende, n'entend pas se laisser faire...
Le TO sous le coup d'une une peine de 10 mois de prison avec surcis et 30 000 euros d’amende, n'entend pas se laisser faire...
TourMaG.com – Un article du « Parisien » de samedi dernier évoque les plaintes d’une centaine de voyageurs instruites par la DDCCRF depuis 4 ans contre partirpascher.com. Qu’en est-il ?

Jean-Pascal Siméon
: « D’abord, il ne s’agit pas d’une centaine mais d’une soixantaine de plaintes. Ensuite, il y a là dedans une quinzaine de plaintes groupées concernant l’affaire de Margarita au Vénézuela, où nous ne sommes strictement pour rien et où l’on a perdu plus d’un million d’euros pour rapatrier nos clients et leur proposer d’autres destinations. La cour d’appel nous en a d’ailleurs donné acte… »

T.M.com – Mais si la cour d’appel vous a donné raison, comment se fait-il que le procureur requière une peine de 10 mois de prison avec surcis et 30 000 euros d’amende pour publicité mensongère ?

J.-P.S
: « C’est justement là où le bât blesse. La DGCCRF considère désormais qu’un simple surbooking relève de la publicité mensongère et que la loi de 92 ne suffit pas à exonérer les agences de voyages de ce type d’aléa.
D’ailleurs, il y a 2 mois à peine, Promovacances.com a aussi été condamnée au pénal alors qu’elle avait, en tant que distributeur, vendu un package qui était confirmé et dans lequel il y a eu un délogement ! »


T.M.com – Qu’en déduisez-vous ?

J.-P.S
: « Que c’est très grave pour la profession et très inquiétant. Cela signifie que dès qu’une agence de voyages va connaître un surbooking, elle pourra potentiellement être condamnée pénalement. Y compris si le tribunal lui a donné raison au civil… »

T.M.com – Comment est-ce possible ?

J.-P.S
: « Tout simplement parce qu’après avoir été acquités au civil, l’administration de la répression des fraudes accepte avec bienveillance les plaintes des clients qu’elle traduit en publicité mensongère et transmet ensuite au Parquet ! »

T.M.com – Et ce n’était pas le cas ?

J.-P.S
: « Bien entendu que non. Ces chambres nous les avions payées d’avance et le booking est quelque chose d’indépendant de notre volonté. Par ailleurs, comment se fait-il qu’il y ait une différence de traitement entre nous et les transporteurs ?

Pourquoi un « délogement » chez nous relèverait de la publicité mensongère alors qu’il est involontaire et pourquoi pas dans une compagnie aérienne qui, volontairement, pratique le surbook et en fait une méthode d’optimisation de son remplissage ?
Les conséquences d’une telle décision sont gravissimes pour notre métier mais aussi pour les consommateurs… »


T.M.com – Pourquoi exactement pour les consommateurs ?

J.-P.S :
« Parce qu’en cas de pépin grave -comme nous avons connu au Vénézuela où notre attitude a été jugée exemplaire pour rapatrier les clients et leur proposer de nouvelles solutions-, demain le TO en proie à un cas semblable ne se donnera peut-être pas autant de mal s’il sait que, quels que soient ses efforts, il peut malgré tout être condamné pour publicité mensongère… »

T.M.com – Que comptez-vous faire ?

J.-P.S
: « Je vais, bien entendu, me battre et transmettre l’affaire au CETO. Si j’étais condamné, même à 10 euros d’amende en septembre, je ferai appel de cette décision car il n’est pas question pour l’image du métier ni pour mon entrepise de nous laisser condamner pour publicité mensongère… »

T.M.com – Il y a tout de même dans le dossier instruit par la DDCCRF depuis 4 ans, 15 000 pages ?

J.-P.S :
« Si nous étions condamnés, nous le serions à la demande d’une administration et sans qu’un juge d’instruction ait jeté le moindre coup d’œil à ce dossier. Je prétends qu’il n’y a aucune preuve tangible mais seulement des réclamation, parfois aberrantes, comme celle d’une cliente qui ayant pris un croisière en catamaran se plaignait que « le skipper coupait parfois le moteur et laissait aller le bateau au grè de l’eau… »

T.M.com – Et vous, avez-vous produit des preuves de vos dires ?

J.-P.S
: « Bien entendu. Et même quand je démontre preuves à l’appui qu’un hôtel dont le client conteste la qualification est bel et bien un 4 étoiles, le procureur poursuit quand même. J’avoue que je ne comprends pas… »

La publicité mensongère

"La publicité est partout : dans les médias, dans les magasins, dans la rue... sa raison d'être est de faire vendre. Mais peut-on tout promettre pour attirer la clientèle ? Non, la publicité trompeuse est réprimée et la publicité comparative réglementée. Les mesures destinées à assurer la sincérité de la publicité tendent concurremment à protéger le consommateur contre certaines formes de tromperie et à maintenir un climat de saine concurrence entre commerçants en les empêchant d'user de fallacieuses promesses pour attirer le consommateur. Les articles L.121-1 à L.121-15 qui suivent ont pour but d'encadrer les pratiques commerciales que représentent la publicité trompeuse (art. L.121-1 à L.121-7) et la publicité comparative (art. L.121-8 à L.121-14)."
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Commentaires
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21.Posté par GALAL MOUSSA le 23/07/2007 11:49 | Alerter
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suite de reservation d'un voyage en égypte pour une semaine à Hurghada à l'agence DE VOYAGE (SWITCH) pour mon fils et son cousin pour une somme de 1470 Euros mille quatre cent soixante dix Euros.POUR LE VOL N° B I E 7108 EN DATE DE 21 JUILLET 2007 à 19h30 Destination Hurghada HOTEL CALIMERA.
en arrivant à l'éroport de ROISSY CHARLES DE GAULLE à l'heure convenue le representant de la compagnie n'a pas voulu nous laisser enbarquer en raison du mauvais état de la carte d'identité de mon cousin (coin décollé). Or; au moment de passer les contrôles de douane et de police, les vérifications nécessaires avaient été faites, et mon cousin avait été autorisé à poursuivre son voyage. C'est au moment de l'embarquement, que le personnel de la compagnie aérienne a refusé son départ. Ne souhaitant pas partir sans mon cousin, j'ai refusé également d'embarquer. J'ai alors pris contact avec l'agence de voyage qui m'avait vendu ce billet (SWITCH) pour savoir s'il était possible d'obtenir un remboursement ou un billet pour une date ultérieure. Je me suis heurté à un refus de leur part.La seule séponde qui m'a été apportée fut de me rapprocher de la compagnie aérienne. Il est important de noter que lors de l'achat de mon billet, la représentante de l'agence a ien remarquer l'état de cette pièce d'identité mais nous a certifié que cela ne posait pas de problème, ce qu'elle dément aujourd'hui.

22.Posté par nono le 12/12/2007 10:00 | Alerter
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Quel menteur ce Simeon!! Ne partez pas avec ce TO!!!

23.Posté par huoih le 13/03/2008 11:03 | Alerter
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je n'ai pas de mots pour décrire l'horreur que je viens de vivre en voyage avec switch!! je suis terrorisé et suivi psychologiquement depuis aujourd'hui car je suis rentrée hier de mon voyage.

24.Posté par le_cafartrois le 13/03/2008 22:55 | Alerter
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Pour toute info relative à Switch/Partirpascher/Siméon, voir le site :

http://www.have-it.com/denonciation/pages/voyages/partirpascher_switch_litige_abus_partir_pas_cher.html

où on peut laisser un message à mon attention. Je suis à la disposition bénévole et gratuite de tout qui voudra entamer (et réussir) une action en Justice. Sachez qu'il existe une procédure quasiment gratuite et sans avocat devant le Juge de Proximité, qui rend un jugement définitif, et sans possibilité d'appel, en trois à quatre mois. Je vous aiderai à bien ficeler votre dossier. La Vérité éclatera un jour !

25.Posté par alexis selinger le 18/06/2008 19:14 | Alerter
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Je suis concepteur/rédacteur publicitaire. De 1997 à 2002 j'ai conçu, rédigé et réalisé pour le compte de voyagistes TO et réceptifs des brochures et sites internet. C'est donc avec un regard de professionnel de la communication touristique que j'ai suivi l'enquête télévisuelle « droit de savoir » diffusée par M6 le vendredi 13 juin 2008.

Par curiosité je viens de visiter le site « partirpascher » et j'y ai constaté les faits que je décris ci-dessous. A mon sens ceux-ci ne laissent aucun doute sur le bien fondé des poursuites de la DDCCRF.

Alors que M. Jean-Pascal Siméon a une activité de tour operator classique - programmer des offres comprennant le transport et le séjour hôtelier packagé - pour générer du trafic sur son site il affirme astucieusement être un tour operator (sic) spécialisé dans la commercialisation de voyages dégriffés.

Voici les mots clef et métas qu'il fait figurer dans chacune des pages de son site pour qu'elles soient indexées avantageusement par les moteurs de recherche :

title> Partirpascher.com, reservation de voyages dégriffés



Ainsi libellé M Jean-Pascal Siméon laisse entendre aux internautes que l'ensemble ou une large partie de ses programmations touristiques sont des voyages dégriffés or cela n'est pas le cas.

Certes les offres qui figurent sur le site de « partirpascher » ne sont ni meilleures ni pires que celles d'autres spécialites de vente en ligne de voyages à forfait à prix prétendument compétitifs ou cassés mais en tout état de cause il ne s'agit pas de voyages dégriffés tel qu'il est promis.

Pour la clarté du débat il est bon de rappeler que le terme dégriffé provient du prêt à porter. Il s'agit d'une formule de vente destinée à écouler dans des commerces spécialisés les invendus de marque à forte notoriété.

Les produits ainsi destokés ont pour particularité, d'où le nom de dégriffé, que leur étiquettage soit volontairement oté.

En contrepartie de l'« anonymat » du produit, les acheteurs de ces articles bénéficient d'un prix largement inférieur à celui que pratique en période de soldes les distributeurs réguliers ces marques.

Ainsi l'emploi du mot dégriffé tout comme ceux de promotion ou soldes n'est pas neutre. Il renvoie à une promesse de bénéfice client qui à défaut d'être tenue caractérise le délit de publicité mensongère tel que le prévoit et réprime les articles L.121-1 à L.121-15.

En se faisant référencer comme un tour operator spécialisé dans la commercialisation de voyages dégriffés alors qu'il diffuse majoritairement sa propre production M. Jean-Pascal Siméon ne peut nier metre en oeuvre une stratégie de communication destinée à tromper les internautes sur la nature des produits mis en ligne.

Lorsque j'ai cliqué sur la lien « qui sommes nous » alors que la page comporte dans ses métas la même phrase « tour operator spécialisé dans la commercialisation de voyages dégriffés » il n'est plus question dans le texte accessible au public de commercialisation de voyages dégriffés mais de programmations maison.

Voici comment M. Jean-Pascal Siméon légitime sa stratégie commerciale et les promesses de bénéfices consommateurs :

« En maîtrisant la fabrication de nos voyages. Nous nous engageons aux côtés de nos partenaires aériens et hôteliers afin d’obtenir auprès d’eux les meilleurs tarifs du marché.

En étant propriétaires des bateaux utilisés pour nos croisières et des structures réceptives et organisatrices d’excursions dans nos principales destinations.

Chez nous pas de mauvaise surprise car nous sommes présents d’un bout à l’autre de votre voyage ! Chez nous le service c’est 7 j / 7 et 24 h / 24. Vous pouvez tester !

Notre garantie. Un service qualité présent chaque jour sur le terrain qui veille toute l’année à la qualité de nos produits afin de vous offrir les meilleures prestations possibles... »

Dès lors où selon l'émission « droit de savoir » les disfonctionnements sont avérés M. Jean-Pascal Siméon ne peut raisonnablement arguer pour sa défense ne pas avoir commis de faute alors même qu'il a eu l'imprudence d'écrire qu'il maîtrisait de bout en bout l'ensemble de ses programmations ; qu'il disposait de structures réceptives ainsi que d'un service qualité présents chaque jour sur le terrain pour leur éviter toute mauvaise surprise.

Compte tenu que ce ne sont pas les fonctionnaires de la DDCCRF qui ont rédigé ces promesses celles-ci engagent comme c'est la règle en pareil cas l'entreprise communicante et son dirigeant.

C'est pourquoi M. Jean-Pascal Siméon n'est pas crédible lorsqu'il conteste le bien fondé des plaintes et évoque l'incompréhension voire l'incompétence des Présidents et Juges de la 11ème Chambre Correctionnelle de Créteil.

Certes il n'est pas le seul TO spécialisé dans la vente en ligne à prix prétendument cassé à utiliser cette technique de rabattage voire de pratiquer comme méthode de management le surbooking ou la commercialisation d'hôtels poubelles au prétexte qu'il s'agit d'offres d'appel.

Sa réflexion « moins les clients paient, plus ils sont exigeants » est non seulement particulièrement mal venue dans le contexte de l'émission « droit de savoir » mais donne un éclairage sur le manque d'éthique du personnage.

Il est vrai que dans l'absolu nul tour operator n'est à l'abri de poursuites pour publicité mensongère:le graphiste ou webmaster en charge de la mise à jour des contenus des catalogues papier ou site internet peut se tromper sur le nombre d'étoiles, intégrer des photos, des descriptifs ou des tarifications qui ne correspondent pas à l'établissement hôtelier cité mais en ce cas il s'agit d'erreur humaine sans volonté de tromperie.

Or ce qui est reproché à M. Jean-Pascal Siméon c'est la volonté de tromper les consommateurs. Si certains des ses confrères ont été condamnés au Civil alors qu'il l'a été au Pénal c'est que M. le Procureur de la République et MM. les Présidents et Juges ont en conscience au vu des pièces, PV d'audition, des arguments de fait et de droit soulevés par les parties en présence estimé que sa responsabilité était engagée tant à titre personnel qu'à celui de représentant moral de la société qu'il dirige.

Pour ceux qui ne sont pas familier avec le Code de Procédure Pénale je précise qu'une affaire peut être audiencée par le Parquet sans avoir été nécessairement instruite au préalable par un Juge. En ce cas l'instruction est menée à l'audience

Comme tout justiciable M. Jean-Pascal Siméon peut à ses risques et périls contester le jugement rendu en première instance mais il ne peut prétendre que faute d'avoir été entendu au préalable par un Juge instructeur la décision du Tribunal n'est pas motivée.

26.Posté par Jacques HENRION le 19/06/2008 20:58 | Alerter
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Et bien, après cette démonstration magistrale d' Alexis Selinger, je me demande ce que pourra bien répondre PPC /SIMEON (en réfutant au moyen d'arguments vérifiables et en s'appuyant sur des textes de loi). Lui qui est si habile et si rapide dans ses réponses, ici, mais pas aux clients mécontents !

Qui ne dit rien consent , ou mieux : qui empêche SIMEON de traîner l'auteur de ces lignes accusatrices en Justice ???

Pas de réponse = il n'y a rien à dire, avalez votre chapeau, Monsieur le Tour- Opérateur ....

27.Posté par ccharasse le 21/08/2008 01:19 | Alerter
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grand consommateur de voyages depuis de nombreuses années j'ai acheté avec les plus grandes réserves, une croisiere aux seychelles en mai 2008. L'absence de tous les documents minimun et legaux ainsi que l'impossibillitée de contacter un responsable m'ont alors laisser penser qu'il s'agissait d'une escroquerie.Apres ce voyage je dois reconnaitre que pour le prix ettonnant la prestation fut ecxeptionnelle malgré les quelques problemes habituels que nous connaissons des lors que nous achetons un produit de consommation ,

28.Posté par LACOSTE le 06/10/2008 17:14 | Alerter
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Nous nous sommes inscrits pour une croisière sur l'Ile de Langkawi (nord de la Malaisie) le 6 décembre 2007 au Salon Nautique de Paris, pour 12 personnes, et nous avons été reçus par un conseiller croisière très convainquant. Par la suite nous avions eu beaucoup de difficultés pour avoir la même personne pour poser des questions, nous n'avions jamais le même interlocuteurs. Nous sommes donc partis le 23 Septembre, à l'arrivée à Langkawi transport en mini bus à la marina alors là commence les problèmes, le taxi nous dépose ainsi que nos bagages et s'en va !!! le bateau (catamaran Némo) qui était prévu neuf ne l'est pas, celui ci à 11 ans d'âge et vient des Seychelles!!!!? le skipper est surpris de nous voir à 12h.30 et ne connaissait ni l'heure d'arrivée ni le nombre de personnes . Nous laissons nos bagages sur le ponton (il fait 30°) nous ne pouvons pas nous changer car les femmes de ménage sont à l'intérieur du bateau. Le skipper nous conseille de déjeuner et de revenir vers 16h.30!!!!. Enfin nous sommes sur le bateau et nous ne sommes que les 12 personnes alors que devions être 16 (pour nous cela était très bien), nous avons la visite de 2 représentants que nous pensions être de SWITCH et là nous apprenons que nous allons naviguer sur le bateau d'un autre TOUR OPERATOR (DREAM YACHT CHARTER ) et qu'il n'est pas responsable de nous, nous n'avons qu'un seul interlocuteur SWITCH et nous ne sommes pas les seuls mécontents, les précédents touristes aussi......Enfin nous faisons notre croisière.Pour ce qui est du package excursions 95€ par personne, nous n'avons pas pu faire la mangrove pour raison de pluie mais rien en remplacement!!!, le repas barbecue sur la plage (n'existe plus et reste dans le programme, mensonge) à la nous avons été dans un resto malais, avons mangé en plein vent et le repas servi était froid et le poisson ce n'est pas fameux!!!. Ensuite les 3 derniers jours de notre voyage nous étions dans un hotel (là rien à dire très bien, sauf que nous n'avons jamais vu de représentant Switch pour la confirmation du vol de retour), nous avons donc nous mêmes avec un représentant de la direction de l'hotel fait le nécessaire en payant 10r. La veille de notre retour nous n'avons pas pu avoir la personne qui devait venir nous prendre en taxi à l'hotel, nous avons réussit à l'avoir le matin du départ heureusement nous ne partions que vers 19h. et pareil à l'aéroport il nous dépose et repart. Nous nous débrouillons tout seul. Tout cela pour dire que une fois le voyage payé SWITCH laisse les voyageurs tombé et dans un pays ou la langue parlée n'est que l'anglais ce n'est pas facile du tout.Nous pensons ne pas faire une bonne publicité a qui voudrait partir avec WITCH.

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