Paul Charles, ancien Directeur de la Communication de Virgin Atlantic et d’Eurostar, est aujourd’hui expert en communication de crise au sein de l’agence de relations publiques Lewis PR.
Selon ses estimations, « Les quatre jours d'interruption du trafic aérien auront déjà coûté à l'industrie européenne du voyage plus d’un milliard de Livres en raison de l’annulation des vols, de l’annulation des chambres d’hôtels et des bateaux de croisière vides.
Les compagnies aériennes doivent faire face à une perte de revenus considérable liée aux énormes coûts de relogement et au rapatriement des passagers bloqués. »
« Les compagnies de transport et de voyage, ajoute-t-il, ont dû faire face à deux grandes perturbations cette année : les annulations liées aux chutes de neige et maintenant le nuage de cendres entrainant une situation très critique des entreprises du secteur.
Dans cette période d’après récession, les réserves financières de ces entreprises ont sérieusement diminuées, certaines d’entre-elles étant même au bord de la faillite. Cette période d’instabilité sans précédent frappe de nombreuses entreprises du secteur. »
Pour ce spécialiste, « Cette crise du secteur aérien aura de nombreuses autres répercussions sur l’économie.
En terme de ressources humaines notamment où bon nombre employés n’ont pu retourner travailler parce qu’ils sont bloqués.
Mais aussi dans le secteur de la logistique où les marchandises, telles que les produits frais et les médicaments, ne pourront être acheminées. Il faudra également anticiper l’impact financier de cette crise sur les week-ends fériés du mois de mai. »
Selon ses estimations, « Les quatre jours d'interruption du trafic aérien auront déjà coûté à l'industrie européenne du voyage plus d’un milliard de Livres en raison de l’annulation des vols, de l’annulation des chambres d’hôtels et des bateaux de croisière vides.
Les compagnies aériennes doivent faire face à une perte de revenus considérable liée aux énormes coûts de relogement et au rapatriement des passagers bloqués. »
« Les compagnies de transport et de voyage, ajoute-t-il, ont dû faire face à deux grandes perturbations cette année : les annulations liées aux chutes de neige et maintenant le nuage de cendres entrainant une situation très critique des entreprises du secteur.
Dans cette période d’après récession, les réserves financières de ces entreprises ont sérieusement diminuées, certaines d’entre-elles étant même au bord de la faillite. Cette période d’instabilité sans précédent frappe de nombreuses entreprises du secteur. »
Pour ce spécialiste, « Cette crise du secteur aérien aura de nombreuses autres répercussions sur l’économie.
En terme de ressources humaines notamment où bon nombre employés n’ont pu retourner travailler parce qu’ils sont bloqués.
Mais aussi dans le secteur de la logistique où les marchandises, telles que les produits frais et les médicaments, ne pourront être acheminées. Il faudra également anticiper l’impact financier de cette crise sur les week-ends fériés du mois de mai. »