S’ajoutant aux offres existantes, trois nouveaux candidats, dont deux qualifiés de « sérieux » ayant démontré leur capacité financière, se sont ainsi déclarés hier auprès des Administrateurs judiciaires de l’entreprise.
Ce regain d’intérêt pour Air Littoral de la part d’investisseurs devrait lui permettre de dégager effectivement une solution de reprise d’ici fin octobre. D’ici là, la Compagnie pourra s’appuyer sur la confiance, réaffirmée au cours de cette période difficile, de ses clients et de ses agences de voyages et réseaux de distribution partenaires.
Ceux-ci lui ont en effet permis d’enregistrer 58% de remplissage de ses appareils en septembre malgré le redressement judiciaire, grâce notamment à la signature de l’accord de protection signé avec le SNAV et l’IATA, reconduit en octobre.
Elle continue également de compter sur le professionnalisme de ses équipes, dont les actions symboliques entreprises à Nice et à Montpellier sont bien la preuve qu’ils y encore beaucoup d’espoir et d’envie.
Quant au CSAM qui doit se réunir demain, son objet n’est pas de se prononcer sur la licence d’exploitation d’Air Littoral, qui court jusqu’en février 2004, mais bien d’examiner les différents dossiers de reprise.
Alors contrairement à ce qu’affirme Michel Bovas aujourd’hui dans vos colonnes, la menace d’une liquidation pure et simple d’Air Littoral s’est bel et bien éloignée. Trente ans dans l’aérien est un trop bel âge pour mourir.
Des salariés d’Air Littoral (qui y croient)
Ce regain d’intérêt pour Air Littoral de la part d’investisseurs devrait lui permettre de dégager effectivement une solution de reprise d’ici fin octobre. D’ici là, la Compagnie pourra s’appuyer sur la confiance, réaffirmée au cours de cette période difficile, de ses clients et de ses agences de voyages et réseaux de distribution partenaires.
Ceux-ci lui ont en effet permis d’enregistrer 58% de remplissage de ses appareils en septembre malgré le redressement judiciaire, grâce notamment à la signature de l’accord de protection signé avec le SNAV et l’IATA, reconduit en octobre.
Elle continue également de compter sur le professionnalisme de ses équipes, dont les actions symboliques entreprises à Nice et à Montpellier sont bien la preuve qu’ils y encore beaucoup d’espoir et d’envie.
Quant au CSAM qui doit se réunir demain, son objet n’est pas de se prononcer sur la licence d’exploitation d’Air Littoral, qui court jusqu’en février 2004, mais bien d’examiner les différents dossiers de reprise.
Alors contrairement à ce qu’affirme Michel Bovas aujourd’hui dans vos colonnes, la menace d’une liquidation pure et simple d’Air Littoral s’est bel et bien éloignée. Trente ans dans l’aérien est un trop bel âge pour mourir.
Des salariés d’Air Littoral (qui y croient)
