Noyan Acar (au centre avec une cravate rouge) très entouré sur son stand lors du work shop Tourcom Affaires organisé à Paris la semaine dernière (1er avril 2010)
TourMaG.com. Quelle est exactement votre mission chez Tourcom ?
Noyan Acar. "Elle est simple. Nous mettons en place et développons pour les adhérents du réseau un système informatique qui permet d'aller à la rencontre de nouveaux prospects, de transformer ces prospects en clients puis de fidéliser ces clients.
Notre objectif est de mettre la technologie au services des adhérents du réseau de manière cohérente."
TourMaG.com. Avez-vous l'objectif d'équiper toutes les agences d'un site internet B2C et dans quel délai ?
N.A. "Une agence de voyage n'a pas intérêt à avoir un site commerçant dès le début. Un site B2C s'apparente à une nouvelle agence, un nouveau point de vente, une nouvelle vitrine qui nécessite un fonctionnement propre, un investissement, une visibilité, un référencement en coordination intelligente avec les outils technologiques.
L'intérêt d'un réseau est du mutualiser les coûts. Cela ne servirait à rien qu'une agence le fasse de façon isolée.
La finalité de la démarche est bien entendu le retour sur investissement. Cela se fera par étape. Il faut d'abord mettre en place l'outil professionnel back office, ce que j'appelle « l'arrière-boutique » le B2B. Le front office à destination des clients vient dans un deuxième temps."
Noyan Acar. "Elle est simple. Nous mettons en place et développons pour les adhérents du réseau un système informatique qui permet d'aller à la rencontre de nouveaux prospects, de transformer ces prospects en clients puis de fidéliser ces clients.
Notre objectif est de mettre la technologie au services des adhérents du réseau de manière cohérente."
TourMaG.com. Avez-vous l'objectif d'équiper toutes les agences d'un site internet B2C et dans quel délai ?
N.A. "Une agence de voyage n'a pas intérêt à avoir un site commerçant dès le début. Un site B2C s'apparente à une nouvelle agence, un nouveau point de vente, une nouvelle vitrine qui nécessite un fonctionnement propre, un investissement, une visibilité, un référencement en coordination intelligente avec les outils technologiques.
L'intérêt d'un réseau est du mutualiser les coûts. Cela ne servirait à rien qu'une agence le fasse de façon isolée.
La finalité de la démarche est bien entendu le retour sur investissement. Cela se fera par étape. Il faut d'abord mettre en place l'outil professionnel back office, ce que j'appelle « l'arrière-boutique » le B2B. Le front office à destination des clients vient dans un deuxième temps."
TourMaG.com. A quel niveau d'étape en êtes-vous ?
N.A. "Le système back office Amadeus Traveltainement est signé et déployé dans les agences de voyages du réseau.
Avant la mise en place du front office à destination des clients nous attendons que toutes les agences Tourcom soient équipées de site internet.
A ce jour près du tiers des points de ventes n'ont pas de sites internet. Sur les deux tiers restants, un tiers disposent d'un site marchand Vous voyez, nous avons un important potentiel de développement !"
N.A. "Le système back office Amadeus Traveltainement est signé et déployé dans les agences de voyages du réseau.
Avant la mise en place du front office à destination des clients nous attendons que toutes les agences Tourcom soient équipées de site internet.
A ce jour près du tiers des points de ventes n'ont pas de sites internet. Sur les deux tiers restants, un tiers disposent d'un site marchand Vous voyez, nous avons un important potentiel de développement !"
MINI BIO
Noyan Acar a intégré l'équipe des permanents Tourcom durant l'été 2009 avec mission de développer les sites B2B et B2C du réseau.
Ce spécialiste de l'informatique - très sollicité par les adhérents lors du réseau work shop TourCom Affaires - vient du monde de la production.
Avant Tourcom, il avait travaillé durant cinq ans pour le CETO avec entre autres missions la mise en place du portail des TO.
Auparavant encore, il avait fait une partie de sa carrière dans le Groupe Teker et chez Marmara.
Ce spécialiste de l'informatique - très sollicité par les adhérents lors du réseau work shop TourCom Affaires - vient du monde de la production.
Avant Tourcom, il avait travaillé durant cinq ans pour le CETO avec entre autres missions la mise en place du portail des TO.
Auparavant encore, il avait fait une partie de sa carrière dans le Groupe Teker et chez Marmara.
