Cela correspond à une perte par action de 9,23 dollars au cours de la période sous revue, contre 4,17 dollars un an auparavant. La perte du premier trimestre comprend quelque 768 millions de dollars de frais de réorganisation, selon le communiqué.
Hors ces frais de réorganisation, la perte nette a atteint 302 millions de dollars. Cela correspond à une perte par action de 2,62 dollars. La compagnie a précisé avoir réduit de 17%, soit 216 millions de dollars, ses coûts salariaux au cours du trimestre. Mais dans le même temps, les dépenses en carburant ont progressé de 202 millions de dollars par rapport au premier trimestre 2004.
Au total, le chiffre d'affaires a progressé de 0,2% à 3,9 mds USD au cours du trimestre. Le juge américain en charge du dossier de faillite d'UAL avait donné mardi son feu vert à l'accord prévoyant qu'un organisme gouvernemental assume désormais la charge de quatre plans d'épargne retraite maison à la place de la compagnie aérienne.
Il s'agit du principal défaut de paiement sur les retraites jamais observé dans l'histoire américaine. Ce feu vert, donné par le juge Eugene Wedoff du tribunal des faillites du district nord de l'Illinois (nord), va permettre à la compagnie aérienne en dépôt de bilan depuis décembre 2002 d'économiser des centaines de millions de dollars.
Il va aussi se traduire par des avantages sociaux considérablement réduits pour des milliers d'employés et d'ex-employés d'UAL.
Hors ces frais de réorganisation, la perte nette a atteint 302 millions de dollars. Cela correspond à une perte par action de 2,62 dollars. La compagnie a précisé avoir réduit de 17%, soit 216 millions de dollars, ses coûts salariaux au cours du trimestre. Mais dans le même temps, les dépenses en carburant ont progressé de 202 millions de dollars par rapport au premier trimestre 2004.
Au total, le chiffre d'affaires a progressé de 0,2% à 3,9 mds USD au cours du trimestre. Le juge américain en charge du dossier de faillite d'UAL avait donné mardi son feu vert à l'accord prévoyant qu'un organisme gouvernemental assume désormais la charge de quatre plans d'épargne retraite maison à la place de la compagnie aérienne.
Il s'agit du principal défaut de paiement sur les retraites jamais observé dans l'histoire américaine. Ce feu vert, donné par le juge Eugene Wedoff du tribunal des faillites du district nord de l'Illinois (nord), va permettre à la compagnie aérienne en dépôt de bilan depuis décembre 2002 d'économiser des centaines de millions de dollars.
Il va aussi se traduire par des avantages sociaux considérablement réduits pour des milliers d'employés et d'ex-employés d'UAL.