La France reste toujours le lieu de prédilection pour 72 % des vacanciers qui restent fidèles à leurs choix quant aux espaces. Le littoral reste la destination préférée pour les vacances d’été (48 %), suivi de la campagne (33 %, en augmentation depuis 2001), la ville (26 %) et la montagne (16 %).
Peu de changement également dans le classement des régions françaises : Provence-Alpes-Côte d’Azur (16 %), Languedoc-Roussillon (11 %), viennent ensuite l’Aquitaine, Rhône-Alpes et les Pays de la Loire.
Même stabilité pour les Français qui souhaitent se rendre à l’étranger : l’Europe est toujours privilégiée par 61 % d’entre eux, leur choix se portant en premier lieu vers l’Espagne (22 %) et l’Italie (10 %).
L’hébergement non marchand privilégié
L’hébergement privilégié des Français l’été, reste l’hébergement non marchand (résidences secondaires) qui accuse cependant une légère baisse avec 39 % contre 43 % en 2003, corrélé par une augmentation légère concernant l’hôtellerie (14 % contre 11 % en 2003).
Le mode de réservation des vacanciers change peu : 43 % des partants réserveraient soit par téléphone (17 %), directement dans les points de vente (17 %) ou par internet (12 %) qui poursuit son développement depuis 2002.
La durée moyenne de séjour estival continue à se raccourcir passant de 17 à 16 jours en 2004 et on note également une augmentation des courts séjours (moins de 7 jours) qui se poursuit : + 28 %.
Cette année encore, ce sont les moyens financiers insuffisants qui expliqueraient à 33 % l’impossibilité de départ en vacances d’été puis les contraintes professionnelles.
Moyens financiers insuffisants
Par ailleurs, on observe une augmentation de l’indécision qui semble confirmer la tendance des réservations de dernières minutes influencée par des facteurs externes (conditions climatiques) : en effet 11 % des personnes interrogées n’ont pas encore choisi le lieu de leurs vacances contre 6 % l’an dernier à la même date.
Léon BERTRAND, ministre délégué au Tourisme estime que les perspectives pour l’été 2004 s’avèrent globalement positives mais qu’une fois encore la réussite de cette saison estivale devra s’appuyer sur un partenariat renforcé entre les professionnels du Tourisme et les pouvoirs publics.
(1)Enquête réalisée les 14/15 mai et les 28/29 mai 2004, auprès d’un échantillon de 2 000 hommes et femmes âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population française.)
Peu de changement également dans le classement des régions françaises : Provence-Alpes-Côte d’Azur (16 %), Languedoc-Roussillon (11 %), viennent ensuite l’Aquitaine, Rhône-Alpes et les Pays de la Loire.
Même stabilité pour les Français qui souhaitent se rendre à l’étranger : l’Europe est toujours privilégiée par 61 % d’entre eux, leur choix se portant en premier lieu vers l’Espagne (22 %) et l’Italie (10 %).
L’hébergement non marchand privilégié
L’hébergement privilégié des Français l’été, reste l’hébergement non marchand (résidences secondaires) qui accuse cependant une légère baisse avec 39 % contre 43 % en 2003, corrélé par une augmentation légère concernant l’hôtellerie (14 % contre 11 % en 2003).
Le mode de réservation des vacanciers change peu : 43 % des partants réserveraient soit par téléphone (17 %), directement dans les points de vente (17 %) ou par internet (12 %) qui poursuit son développement depuis 2002.
La durée moyenne de séjour estival continue à se raccourcir passant de 17 à 16 jours en 2004 et on note également une augmentation des courts séjours (moins de 7 jours) qui se poursuit : + 28 %.
Cette année encore, ce sont les moyens financiers insuffisants qui expliqueraient à 33 % l’impossibilité de départ en vacances d’été puis les contraintes professionnelles.
Moyens financiers insuffisants
Par ailleurs, on observe une augmentation de l’indécision qui semble confirmer la tendance des réservations de dernières minutes influencée par des facteurs externes (conditions climatiques) : en effet 11 % des personnes interrogées n’ont pas encore choisi le lieu de leurs vacances contre 6 % l’an dernier à la même date.
Léon BERTRAND, ministre délégué au Tourisme estime que les perspectives pour l’été 2004 s’avèrent globalement positives mais qu’une fois encore la réussite de cette saison estivale devra s’appuyer sur un partenariat renforcé entre les professionnels du Tourisme et les pouvoirs publics.
(1)Enquête réalisée les 14/15 mai et les 28/29 mai 2004, auprès d’un échantillon de 2 000 hommes et femmes âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population française.)