
La compagnie tricolore s'est fendu ce lundi d'un communiqué, en réaction à l'article, rétorquant que "L'enquête du BEA a montré qu'Air France a respecté scrupuleusement toutes les procédures édictées par les constructeurs et les autorités. La compagnie n'a pas connaissance du rapport mentionné ce jour dans Liberation."
Libération [(LIRE)]urlblank:
http://www.liberation.fr/societe/0101631894-vol-af447-le-rapport-qui-seme-le-doute déclare avoir eu connaissance "en exclusivité", du rapport de "cinq experts (qui) ont mené une cinquantaine d’auditions, de réunions et d’analyses. Un rapport définitif, ajoute le quotidien, est attendu pour le mois de décembre.
Jusqu'ici, les sondes Pitot et la météo étaient considérés comme les deux seules certitudes à l'origine de l'accident.
L’élément nouveau dans le rapport des experts judiciaires, c’est que sur les les 9 sondes Thales AA prélevées parmi les 84 saisies chez Air France par la justice, certaines présentaient un aspect extérieur « moyennement » ou « très dégradé ».
"Sans surprise, les sondes usées se sont révélées les moins performantes lors des tests. Les experts estiment que cela « pourrait » être « lié au temps (heures de vol et/ou durée calendaire) écoulé depuis le dernier entretien des sondes ».
Autrement dit, les Pitot auraient pu être l'objet d'un défaut de maintenance.
Et bien qu'ils n'aient pu s'assurer avec certitude que ces Pitot étaient bel et bien installées sur l'appareil en question, les experts vont tout de même essayer de savoir si les avions équipés de Pitot usées sont ceux qui ont connu des incidents avant le crash.
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http://www.liberation.fr/societe/0101631894-vol-af447-le-rapport-qui-seme-le-doute déclare avoir eu connaissance "en exclusivité", du rapport de "cinq experts (qui) ont mené une cinquantaine d’auditions, de réunions et d’analyses. Un rapport définitif, ajoute le quotidien, est attendu pour le mois de décembre.
Jusqu'ici, les sondes Pitot et la météo étaient considérés comme les deux seules certitudes à l'origine de l'accident.
L’élément nouveau dans le rapport des experts judiciaires, c’est que sur les les 9 sondes Thales AA prélevées parmi les 84 saisies chez Air France par la justice, certaines présentaient un aspect extérieur « moyennement » ou « très dégradé ».
"Sans surprise, les sondes usées se sont révélées les moins performantes lors des tests. Les experts estiment que cela « pourrait » être « lié au temps (heures de vol et/ou durée calendaire) écoulé depuis le dernier entretien des sondes ».
Autrement dit, les Pitot auraient pu être l'objet d'un défaut de maintenance.
Et bien qu'ils n'aient pu s'assurer avec certitude que ces Pitot étaient bel et bien installées sur l'appareil en question, les experts vont tout de même essayer de savoir si les avions équipés de Pitot usées sont ceux qui ont connu des incidents avant le crash.