
Voyage : l’IA perçue comme une menace par 44 % des agents de voyages - Depositphotos.com Auteur enjoys
RateHawk a mené une enquête sur le ressenti de la montée en puissance de l'intelligence artificielle dans le secteur du voyage.
L'étude mondiale révèle que 44 % des agents considèrent l’IA comme une menace directe pour leur avenir.
En Asie et dans le Conseil de coopération du Golfe sont respectivement à 60 % et 55 % les plus pessimistes. À l’inverse, la majorité en Europe (58 %) et en Amérique latine (55 %) ne partagent pas cette conviction.
Les professionnels du voyage en Amérique du Nord sont les plus sceptiques, avec seulement 20 % estimant que l’IA pourrait prendre leur place.
L'étude mondiale révèle que 44 % des agents considèrent l’IA comme une menace directe pour leur avenir.
En Asie et dans le Conseil de coopération du Golfe sont respectivement à 60 % et 55 % les plus pessimistes. À l’inverse, la majorité en Europe (58 %) et en Amérique latine (55 %) ne partagent pas cette conviction.
Les professionnels du voyage en Amérique du Nord sont les plus sceptiques, avec seulement 20 % estimant que l’IA pourrait prendre leur place.
Des différences selon les marchés
Les répondants aux États-Unis et au Canada manifestent le plus grand intérêt pour l’adoption de nouveaux outils de personnalisation basés sur l’IA afin de rendre leur travail plus efficace (45 %) parmi les marchés étudiés.
En France, 45 % des professionnels du secteur du voyage craignent que l’IA puisse prendre leur emploi.
L’expérience professionnelle influe également sur la perception du risque. Parmi les jeunes entrants dans la profession (moins de trois ans), 51 % considèrent l’IA comme un substitut possible. À l’opposé, seuls 40 % des vétérans de plus de 15 ans adhèrent à cette vision.
En France, 45 % des professionnels du secteur du voyage craignent que l’IA puisse prendre leur emploi.
L’expérience professionnelle influe également sur la perception du risque. Parmi les jeunes entrants dans la profession (moins de trois ans), 51 % considèrent l’IA comme un substitut possible. À l’opposé, seuls 40 % des vétérans de plus de 15 ans adhèrent à cette vision.