Air France-KLM avait annoncé son intention de participer au sauvetage d'Alitalia, mais au prix de conditions drastiques.
La compagnie aurait imposé entre autres "la suppression de 5 000 emplois" chez la compagnie italienne, selon un article paru, le 3 novembre 2013, dans Il Sole 24 Ore rapporte Reuters.
Elle aurait également "exigé la démission de l'actuel conseil d'administration d'Alitalia ainsi qu'un nouveau plan de restructuration visant à réduire de 70% à 80% l'endettement de près d'un milliard d'euros de la société italienne déficitaire".
La compagnie aurait imposé entre autres "la suppression de 5 000 emplois" chez la compagnie italienne, selon un article paru, le 3 novembre 2013, dans Il Sole 24 Ore rapporte Reuters.
Elle aurait également "exigé la démission de l'actuel conseil d'administration d'Alitalia ainsi qu'un nouveau plan de restructuration visant à réduire de 70% à 80% l'endettement de près d'un milliard d'euros de la société italienne déficitaire".