A propos de la grève d'Air France Denis Zanon, directeur de l'OT de Nice : "Majoritairement les touristes étrangers en séjours sur la Côte d’Azur, et plus particulièrement à Nice, utilisent l’avion.
On estime que 55 % des touristes étrangers ici transitent par l’aérien. D’ailleurs l’aéroport ici est considéré comme la porte d’entrée incontournable. Et l’on est plus exposé que d’autres régions à une interruption du trafic que ce soit par la grève ou des problèmes naturels.
C’est encore plus vrai pour le tourisme d’affaires dont la saison commence effectivement en septembre et qui est lui très dépendant de la desserte aérienne.
Sur certaines liaisons internationales, en l’absence de droit de trafic, le passage obligé par Roissy ou d’autres hubs grands européens compliquent notre desserte pour les touristes étrangers.
N’oublions pas que les destinations concurrentes s’engouffrent dans la brèche.
Et nos opérations de promotion, comme celles prévues au Japon ou à New York, peuvent être plus compliquées sans compter sur les retombées négatives dans la presse internationale.
L’interruption du trafic aérien va donc au-delà des simples difficultés de transport."
On estime que 55 % des touristes étrangers ici transitent par l’aérien. D’ailleurs l’aéroport ici est considéré comme la porte d’entrée incontournable. Et l’on est plus exposé que d’autres régions à une interruption du trafic que ce soit par la grève ou des problèmes naturels.
C’est encore plus vrai pour le tourisme d’affaires dont la saison commence effectivement en septembre et qui est lui très dépendant de la desserte aérienne.
Sur certaines liaisons internationales, en l’absence de droit de trafic, le passage obligé par Roissy ou d’autres hubs grands européens compliquent notre desserte pour les touristes étrangers.
N’oublions pas que les destinations concurrentes s’engouffrent dans la brèche.
Et nos opérations de promotion, comme celles prévues au Japon ou à New York, peuvent être plus compliquées sans compter sur les retombées négatives dans la presse internationale.
L’interruption du trafic aérien va donc au-delà des simples difficultés de transport."