Le Dreamliner, un avion de rêve ?
Le Boeing 787 est, pour Yves Galland, le patron de Boeing en France, « l’avion révolutionnaire du 21 siècle ».
Il faudra attendre jusqu’à la fin de l’année pour pouvoir le vérifier chez All Nippon Airways, sa compagnie de lancement.
Les férus d’aéronautique connaîtront à nouveau le grand frisson, lorsqu’ils pourront emprunter le premier Boeing 787 Dreamliner.
Le 787 est un appareil de taille moyenne (210 à 250 passagers) pour le modèle 787-8 avec des capacités techniques lui permettant de parcourir des distances jusque là réservées aux gros porteurs. Entre 14 200 et 15 200 kilomètres pour le 787-8.
Trois versions ont été prévues par Boeing pour cet appareil. Le 787-9 pourra accueillir de 250 à 290 passagers et parcourir de 15900 à 16 300 kilomètres.
Le Boeing 787 est, pour Yves Galland, le patron de Boeing en France, « l’avion révolutionnaire du 21 siècle ».
Il faudra attendre jusqu’à la fin de l’année pour pouvoir le vérifier chez All Nippon Airways, sa compagnie de lancement.
Les férus d’aéronautique connaîtront à nouveau le grand frisson, lorsqu’ils pourront emprunter le premier Boeing 787 Dreamliner.
Le 787 est un appareil de taille moyenne (210 à 250 passagers) pour le modèle 787-8 avec des capacités techniques lui permettant de parcourir des distances jusque là réservées aux gros porteurs. Entre 14 200 et 15 200 kilomètres pour le 787-8.
Trois versions ont été prévues par Boeing pour cet appareil. Le 787-9 pourra accueillir de 250 à 290 passagers et parcourir de 15900 à 16 300 kilomètres.
Un carnet de commandes fort de 851 unités
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Cette version sera prête à la fin de l’année 2013, tandis que la version 787-3 pourra accueillir de 290 à 330 passagers et voler sur une distance plus courte de 4 600 à 5 650 kilomètres.
Avec 50% de l’avion réalisé en matériaux composites légers et 20% en aluminium, l’appareil permettra de réaliser des économies de carburant estimées à 20% par rapport aux modèles actuels.
La largeur du fuselage apportera quatre centimètres supplémentaires à chaque siège. L’avion disposera des plus grands hublots existants avec une dimension de 28 centimètres sur 48.
Le Dreamliner sera assemblé dans deux usines. A Seattle où, à pleine production, sept exemplaires sortiront tous les mois et à Charleston, une nouvelle usine qui pourra en sortir trois par mois à partir de juillet 2012.
Même si la construction de l’appareil a pris deux ans de retard par rapport au calendrier initial - ce qui a provoqué en partie les 84 annulations de commandes enregistrées à ce jour - le succès commercial du 787 est indéniable avec un carnet de commandes fort de 851 unités en provenance d’une cinquantaine de compagnies.
En attendant la mise en service de l’appareil par ANA, le Dreamliner continue ses vols d’essai. Le quinzième vient d’avoir lieu représentant une soixantaine d’heures de vols, avec les deux premiers appareils disponibles.
Boeing en fera voler six en tout pour boucler son programme d’essais et obtenir les certifications nécessaires.
Avec 50% de l’avion réalisé en matériaux composites légers et 20% en aluminium, l’appareil permettra de réaliser des économies de carburant estimées à 20% par rapport aux modèles actuels.
La largeur du fuselage apportera quatre centimètres supplémentaires à chaque siège. L’avion disposera des plus grands hublots existants avec une dimension de 28 centimètres sur 48.
Le Dreamliner sera assemblé dans deux usines. A Seattle où, à pleine production, sept exemplaires sortiront tous les mois et à Charleston, une nouvelle usine qui pourra en sortir trois par mois à partir de juillet 2012.
Même si la construction de l’appareil a pris deux ans de retard par rapport au calendrier initial - ce qui a provoqué en partie les 84 annulations de commandes enregistrées à ce jour - le succès commercial du 787 est indéniable avec un carnet de commandes fort de 851 unités en provenance d’une cinquantaine de compagnies.
En attendant la mise en service de l’appareil par ANA, le Dreamliner continue ses vols d’essai. Le quinzième vient d’avoir lieu représentant une soixantaine d’heures de vols, avec les deux premiers appareils disponibles.
Boeing en fera voler six en tout pour boucler son programme d’essais et obtenir les certifications nécessaires.