Dans un communiqué, la FNAUT "attend du gouvernement qu’il révise le SNIT sans a priori, en effectuant un tri raisonné parmi les projets de LGV, qui ne sont pas tous prioritaires, et en cherchant à provoquer les transferts de trafic les plus bénéfiques pour l’environnement".
Elle ajoute que "outre les gains de temps qu’elle peut apporter aux voyageurs, et qui n’ont rien de marginal, la construction de nouvelles LGV bien sélectionnées permet de réduire les trafics aérien et routier et de désaturer le réseau classique au bénéfice du TER. Aucun programme de redéveloppement du fret ferroviaire n’est possible sans des LGV absorbant le trafic voyageurs".
Elle souligne notamment que des "économies sont nécessaires, mais elles doivent porter en priorité sur les projets inutiles ou nocifs pour l’environnement : autoroutes (A45, A831,…) dont on sait depuis longtemps qu’elles ne permettent pas de venir à bout de la congestion routière".
De même, "de nombreuses niches fiscales antienvironnementales peuvent être supprimées : non-taxation du kérosène consommé en transport aérien intérieur, sous-taxation du carburant diesel par rapport à l’essence, surestimation d’environ 30% du coût d’usage de l’automobile par le barème fiscal kilométrique. Plusieurs milliards d’euros par an sont disponibles."
Elle ajoute que "outre les gains de temps qu’elle peut apporter aux voyageurs, et qui n’ont rien de marginal, la construction de nouvelles LGV bien sélectionnées permet de réduire les trafics aérien et routier et de désaturer le réseau classique au bénéfice du TER. Aucun programme de redéveloppement du fret ferroviaire n’est possible sans des LGV absorbant le trafic voyageurs".
Elle souligne notamment que des "économies sont nécessaires, mais elles doivent porter en priorité sur les projets inutiles ou nocifs pour l’environnement : autoroutes (A45, A831,…) dont on sait depuis longtemps qu’elles ne permettent pas de venir à bout de la congestion routière".
De même, "de nombreuses niches fiscales antienvironnementales peuvent être supprimées : non-taxation du kérosène consommé en transport aérien intérieur, sous-taxation du carburant diesel par rapport à l’essence, surestimation d’environ 30% du coût d’usage de l’automobile par le barème fiscal kilométrique. Plusieurs milliards d’euros par an sont disponibles."