Hans van de Velde PDG de TUI France - DR
Le groupe TUI pourrait-il réitérer un scénario à la Corsair pour sa filiale française TUI France ?
Selon Les Echos, le groupe allemand n'écarte plus la possibilité de se désengager du marché français. Le quotidien économique évoque ainsi une reprise de TUI France par le groupe Marietton Développement, déjà propriétaire de Havas Voyages, de plusieurs réseaux d'agences Selectour Ailleurs et de tour-opérateurs (Voyamar et Héliades).
Que ce soit du côté de Laurent Abitbol comme de TUI Group la réponse est la même : pas de commentaire.
Selon Les Echos, le groupe allemand n'écarte plus la possibilité de se désengager du marché français. Le quotidien économique évoque ainsi une reprise de TUI France par le groupe Marietton Développement, déjà propriétaire de Havas Voyages, de plusieurs réseaux d'agences Selectour Ailleurs et de tour-opérateurs (Voyamar et Héliades).
Que ce soit du côté de Laurent Abitbol comme de TUI Group la réponse est la même : pas de commentaire.
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Selon Les Echos la mise en place d'un régime de location-gérance serait en discussion. Parallèlement, "le groupe familial, basé à Lyon, monterait au capital à un niveau significatif. Une possible prise de participation à hauteur de 45 % aurait été évoquée, TUI en conservant autant, le solde revenant aux salariés."
Un plan qui n'est pas sans rappeler celui de Corsair, cédée à Intro Aviation.
Pour l'heure, le secrétaire du Comité social et économique (CSE) TUI France Lazare Razkallah n'a pas reçu de convocation pour un CSE extraordinaire information et consultation : "pour l'instant nous ne savons rien" nous précise t-il.
Reste, qu'un nouvel plan social pour TUI France n'est toujours pas écarté. Les comptes des exercices 2016-2017 et 2017-2018 ne sont pas déposés. Le quotidien économique évoque une perte de l'ordre de 60 millions pour l'exercice 2018-2019 pour la filiale français qui a bénéficié d'une nouvelle recapitalisation de sa maison mère.
Le groupe dirigé par Laurent Abitbol a par ailleurs déposé une offre de reprise pour une partie des agences Thomas Cook après la faillite de sa maison mère britannique. Avec TUI France dans sa besace, reste à savoir à quel moment ses concurrents pourraient invoquer les problématiques de position dominante sur un marché qui se rapetisse comme peau de chagrin...
Un plan qui n'est pas sans rappeler celui de Corsair, cédée à Intro Aviation.
Pour l'heure, le secrétaire du Comité social et économique (CSE) TUI France Lazare Razkallah n'a pas reçu de convocation pour un CSE extraordinaire information et consultation : "pour l'instant nous ne savons rien" nous précise t-il.
Reste, qu'un nouvel plan social pour TUI France n'est toujours pas écarté. Les comptes des exercices 2016-2017 et 2017-2018 ne sont pas déposés. Le quotidien économique évoque une perte de l'ordre de 60 millions pour l'exercice 2018-2019 pour la filiale français qui a bénéficié d'une nouvelle recapitalisation de sa maison mère.
Le groupe dirigé par Laurent Abitbol a par ailleurs déposé une offre de reprise pour une partie des agences Thomas Cook après la faillite de sa maison mère britannique. Avec TUI France dans sa besace, reste à savoir à quel moment ses concurrents pourraient invoquer les problématiques de position dominante sur un marché qui se rapetisse comme peau de chagrin...