"Il y a un cadre légal qui déroge à la directive européenne des voyages à forfait, mais qui est lié à la situation absolument exceptionnelle de la crise liée au Covid-19.
La France a un délai de deux mois pour répondre à l'injonction de Bruxelles. Il y a des arguments, notamment la préservation d'un écosystème. Sans l'ordonnance, il y aurait des conséquences graves pour les clients et les organismes de garantie.
Nous sommes confiants sur le fait que le gouvernement continuera à assumer ses responsabilités. Nous sommes en train de mettre en place la commission spécifique aux situations particulières.
Cette mise en demeure nous ennuie, mais ce n'est pas affolant. Et l'Europe ferait mieux de s'occuper de ceux qui sont dans l'illégalité, comme les compagnies aériennes, plutôt que de nous. "
Lire : Ordonnance à-valoir : la Commission Européenne met en demeure la France
La France a un délai de deux mois pour répondre à l'injonction de Bruxelles. Il y a des arguments, notamment la préservation d'un écosystème. Sans l'ordonnance, il y aurait des conséquences graves pour les clients et les organismes de garantie.
Nous sommes confiants sur le fait que le gouvernement continuera à assumer ses responsabilités. Nous sommes en train de mettre en place la commission spécifique aux situations particulières.
Cette mise en demeure nous ennuie, mais ce n'est pas affolant. Et l'Europe ferait mieux de s'occuper de ceux qui sont dans l'illégalité, comme les compagnies aériennes, plutôt que de nous. "
Lire : Ordonnance à-valoir : la Commission Européenne met en demeure la France

Jean-Pierre Mas, président des EDV - DR
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