Des sourires un peu crispés, certains plutôt agacés, d'autres au contraire rassurés.
Les sentiments des membres du réseau Thomas Cook étaient plutôt partagés lors de la présentation des modalités du nouveau contrat mercredi 19 mars.
Car après une journée d'échanges très intenses, c'est le statu quo qui semble prévaloir.
"Les réunions ont été très constructives, la nouvelle équipe est particulièrement ouverte au dialogue" remarque une agence du sud.
"Cette journée leur a permis de mieux connaître nos besoins. Ils vont ainsi pouvoir travailler pour peaufiner le nouveau contrat" renchérit une de ses collègues.
Car si la plupart des adhérents interrogés s'accordent sur la diplomatie et l'ouverture d'esprit de la nouvelle équipe, ils sont en revanche plus partagés quant aux clauses présentées.
Les sentiments des membres du réseau Thomas Cook étaient plutôt partagés lors de la présentation des modalités du nouveau contrat mercredi 19 mars.
Car après une journée d'échanges très intenses, c'est le statu quo qui semble prévaloir.
"Les réunions ont été très constructives, la nouvelle équipe est particulièrement ouverte au dialogue" remarque une agence du sud.
"Cette journée leur a permis de mieux connaître nos besoins. Ils vont ainsi pouvoir travailler pour peaufiner le nouveau contrat" renchérit une de ses collègues.
Car si la plupart des adhérents interrogés s'accordent sur la diplomatie et l'ouverture d'esprit de la nouvelle équipe, ils sont en revanche plus partagés quant aux clauses présentées.
12 mois de sursis pour les enseignes Jet tours
En effet, le paiement de la redevance, qui représentait autrefois 1% du volume d'affaires réalisé sur le périmètre tourisme, va devenir fixe.
Les agences devront débourser la somme de 4 500 euros, un tarif dégressif en fonction du nombre de point de ventes.
Certains ont déjà fait leurs comptes et savent qu'ils vont y perdre au change.
D'autres au contraire se félicitent de cette modification qui leur sera bénéfique.
"C'est un calcul personnel pour chaque agence, mais pour ma part, je vais certainement gagner de l'argent" assure une agence Thomas Cook de Bretagne.
Second point d'achoppement : les sur-commissions qui vont être supprimées.
"Il faut bien qu'ils trouvent de quoi pour combler le manque à gagner sur les redevances" avance une agence Jet tours de la région parisienne.
De leur coté, les Jet tours n'ont pas été fixés sur leur sort. Le réseau vient d'accepter de prolonger pour une année encore leur contrat dans son état actuel.
"Ils veulent se donner le temps de nous convaincre que le nouveau modèle est pertinent" glisse un responsable d'une enseigne de la région parisienne.
Les adhérents Jet tours peuvent donc souffler pendant encore quelques mois, le temps de mettre en place les négociations nécessaires pour peut–être sauver leurs fonds marketing.
Avant de partir réfléchir à tête reposée à ces nouvelles modalités, les participants à cette journée d'étude se sont vus offrir une montre en cadeau.
Doit-on y voir un rappel symbolique devant l'urgence à réformer ce réseau, qui a encore perdu 18,7 millions d'euros en 2013 ?
Les agences devront débourser la somme de 4 500 euros, un tarif dégressif en fonction du nombre de point de ventes.
Certains ont déjà fait leurs comptes et savent qu'ils vont y perdre au change.
D'autres au contraire se félicitent de cette modification qui leur sera bénéfique.
"C'est un calcul personnel pour chaque agence, mais pour ma part, je vais certainement gagner de l'argent" assure une agence Thomas Cook de Bretagne.
Second point d'achoppement : les sur-commissions qui vont être supprimées.
"Il faut bien qu'ils trouvent de quoi pour combler le manque à gagner sur les redevances" avance une agence Jet tours de la région parisienne.
De leur coté, les Jet tours n'ont pas été fixés sur leur sort. Le réseau vient d'accepter de prolonger pour une année encore leur contrat dans son état actuel.
"Ils veulent se donner le temps de nous convaincre que le nouveau modèle est pertinent" glisse un responsable d'une enseigne de la région parisienne.
Les adhérents Jet tours peuvent donc souffler pendant encore quelques mois, le temps de mettre en place les négociations nécessaires pour peut–être sauver leurs fonds marketing.
Avant de partir réfléchir à tête reposée à ces nouvelles modalités, les participants à cette journée d'étude se sont vus offrir une montre en cadeau.
Doit-on y voir un rappel symbolique devant l'urgence à réformer ce réseau, qui a encore perdu 18,7 millions d'euros en 2013 ?