Les équipes d'Alpitour France lors de l'inauguration de leur dernier clubs en avril 2018. 6 nouveaux établissements sont attendus ces prochains mois. © PG TM
Pour Patrice Caradec, son directeur général, Alpitour France « peut mieux faire, doit mieux faire et va mieux faire ! ».
Alors que la branche française du numéro 1 du voyage en Italie a lancé ses Bravos Clubs, derniers arrivés sur un marché des clubs de vacances déjà très concurrentiel, s’apprête à fêter la fin de sa première année d’exploitation, les premiers chiffres sont assez satisfaisants.
Depuis novembre 2017, la branche française du numéro 1 du voyage en Italie a fait voyager 22 000 clients, n’atteignant pas encore son objectif de 27 000 pax qu’elle s’était fixé sur sa première année complète. Le tout pour environ 22 millions d’euros de chiffre d’affaires, répartis exactement à 50/50 entre activités longs-courriers et moyen-courrier.
Si Patrice Caradec, ex-patron de Transat France, s’enorgueillit d’un premier bilan globalement positif, avec des destinations comme la Grèce (5500 pax), les Baléares ou le Cap-Vert qui ont bien fonctionné, il ne cache pas que beaucoup de chemin reste à parcourir et que son tour-opérateur doit encore progresser.
Alors que la branche française du numéro 1 du voyage en Italie a lancé ses Bravos Clubs, derniers arrivés sur un marché des clubs de vacances déjà très concurrentiel, s’apprête à fêter la fin de sa première année d’exploitation, les premiers chiffres sont assez satisfaisants.
Depuis novembre 2017, la branche française du numéro 1 du voyage en Italie a fait voyager 22 000 clients, n’atteignant pas encore son objectif de 27 000 pax qu’elle s’était fixé sur sa première année complète. Le tout pour environ 22 millions d’euros de chiffre d’affaires, répartis exactement à 50/50 entre activités longs-courriers et moyen-courrier.
Si Patrice Caradec, ex-patron de Transat France, s’enorgueillit d’un premier bilan globalement positif, avec des destinations comme la Grèce (5500 pax), les Baléares ou le Cap-Vert qui ont bien fonctionné, il ne cache pas que beaucoup de chemin reste à parcourir et que son tour-opérateur doit encore progresser.
Toujours pas de référencement Selectour
Autres articles
Plusieurs problèmes sont cités. Sur certaines destinations tout d’abord. Notamment à Cuba, « où ne ne sommes pas du tout satisfaits de la qualité offerte sur place et travaillons dur pour gommer ces imperfections », ou en Tunisie, « où il y a trop de soucis de transport avec notre partenaire, Tunisair ».
D’après la direction d’Alpitour, des accords seraient en vue avec Transavia.
Autres préoccupations de Patrice Caradec et de ses équipes : un panier moyen pour l’instant trop bas (autour de 1000 euros par dossier) qui opère une vraie pression sur les prix et donc sur les marges du tour-opérateur, et une activité groupe qui peine à décoller (2500 pax en 2018, en espère au moins 5500 en 2019).
Enfin, le référencement du tour-opérateur « reste encore à élargir ».
Comprendre : signer un accord avec Selectour / Havas au plus vite.
D’après la direction, les négociations se poursuivent, et une réponse devrait arriver d’ici la fin du mois. « On est en bonne position pour être référencé dès cette année », promet Patrice Caradec.
En attendant, Alpitour, TO 100% B2B, est en contrat avec 2200 agences françaises, dont seulement 1100 ont vendu au moins un dossier en 2018. « Mais partir de 0, ce n’est pas évident », tempère le directeur général.
D’après la direction d’Alpitour, des accords seraient en vue avec Transavia.
Autres préoccupations de Patrice Caradec et de ses équipes : un panier moyen pour l’instant trop bas (autour de 1000 euros par dossier) qui opère une vraie pression sur les prix et donc sur les marges du tour-opérateur, et une activité groupe qui peine à décoller (2500 pax en 2018, en espère au moins 5500 en 2019).
Enfin, le référencement du tour-opérateur « reste encore à élargir ».
Comprendre : signer un accord avec Selectour / Havas au plus vite.
D’après la direction, les négociations se poursuivent, et une réponse devrait arriver d’ici la fin du mois. « On est en bonne position pour être référencé dès cette année », promet Patrice Caradec.
En attendant, Alpitour, TO 100% B2B, est en contrat avec 2200 agences françaises, dont seulement 1100 ont vendu au moins un dossier en 2018. « Mais partir de 0, ce n’est pas évident », tempère le directeur général.
Des nouveautés pour 2019
Pour poursuivre sa percée sur le marché des clubs, Alpitour proposera à la vente 10 Bravo Clubs sur l'hiver, dont 8 ont obtenu la certification "club de vacances qualité garantie".
Parmi eux, 3 nouveautés. Sur le moyen-courrier, le public français pourra se rendre en Tunisie au nouveau Golf Beach de Djerba. Sur le long-courrier, Alpitour innove avec l'ouverture à Oman du Bravo Club Sifawy et au Mexique du Bravo Club Pacific Vallarta. "Un côté du Mexique que les Français ne connaissent pas assez, une côte plus authentique, plus traditionnelle et plus cool que côté Yucatan", d'après Patrice Caradec.
L'été prochain, le tour-opérateur ouvrira 3 autres clubs (en Croatie, à Malaga et en Sicile), portant son catalogue à 17 établissements. Avec pour objectifs affichés d'atteindre les 38 000 clients et les 40 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Parmi eux, 3 nouveautés. Sur le moyen-courrier, le public français pourra se rendre en Tunisie au nouveau Golf Beach de Djerba. Sur le long-courrier, Alpitour innove avec l'ouverture à Oman du Bravo Club Sifawy et au Mexique du Bravo Club Pacific Vallarta. "Un côté du Mexique que les Français ne connaissent pas assez, une côte plus authentique, plus traditionnelle et plus cool que côté Yucatan", d'après Patrice Caradec.
L'été prochain, le tour-opérateur ouvrira 3 autres clubs (en Croatie, à Malaga et en Sicile), portant son catalogue à 17 établissements. Avec pour objectifs affichés d'atteindre les 38 000 clients et les 40 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Publié par Pierre Georges
 |
 |
Hiver
|
Eté
|
Plus de brochures sur
|
