
Jean-Charles Corbet reprochait au juge d'instruction Renaud van Ruymbeke de ne pas avoir instruit sa plainte et demandait à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris d'ordonner des investigations complémentaires.
Dans ce dossier, M. Corbet est à la fois mis en examen et partie civile en tant que PDG d'Holco, sa holding personnelle et maison-mère d'Air Lib.
M. Corbet avait déposé en mars 2003 une plainte avec constitution de partie civile contre l'ancien repreneur potentiel de la compagnie, le Néerlandais Erik De Vlieger, l'accusant d'avoir détourné des actifs d'Holco, notamment des avions. Cette plainte avait été jointe au dossier principal visant l'ancienne direction d'Holco.
Jean-Charles Corbet reprochait au juge d'instruction Renaud van Ruymbeke de ne pas avoir instruit sa plainte et demandait à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris d'ordonner des investigations complémentaires.
La cour d'appel a rejeté cette demande mardi, suivant ainsi les observations du parquet général, et a validé ainsi l'instruction du juge.
La liquidation judiciaire d'Air Lib, la deuxième compagnie aérienne française, prononcée le 17 février 2003, avait entraîné le licenciement de 3.200 personnes.
La justice reproche à Holco de n'avoir consacré qu'une partie des fonds versés par Swissair - 150 millions d'euros - au redressement de la compagnie alors que d'importants virements vers diverses sociétés basées notamment au Luxembourg étaient effectués.
L'objet de la contribution de l'ancien actionnaire principal d'Air Lib, Swissair, était de "financer la restructuration, l'activité et la reprise des actifs" d'Air Lib, selon le tribunal de commerce de Créteil lorsqu'il a confié la reprise d'Air Lib le 27 juillet 2001 à Jean-Charles Corbet.
Cinq personnes et une banque seront jugées à Paris dans ce dossier: Jean-Charles Corbet pour "abus de biens sociaux et abus de confiance", l'avocat d'Holco, Me Yves Léonzi, l'ancien repreneur potentiel néerlandais Erik De Vlieger, un ex-responsable du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), le pilote Christian Paris et la banque Canadian Imperial Bank of Commerce (CIBC) en tant que personne morale.
M. Corbet avait déposé en mars 2003 une plainte avec constitution de partie civile contre l'ancien repreneur potentiel de la compagnie, le Néerlandais Erik De Vlieger, l'accusant d'avoir détourné des actifs d'Holco, notamment des avions. Cette plainte avait été jointe au dossier principal visant l'ancienne direction d'Holco.
Jean-Charles Corbet reprochait au juge d'instruction Renaud van Ruymbeke de ne pas avoir instruit sa plainte et demandait à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris d'ordonner des investigations complémentaires.
La cour d'appel a rejeté cette demande mardi, suivant ainsi les observations du parquet général, et a validé ainsi l'instruction du juge.
La liquidation judiciaire d'Air Lib, la deuxième compagnie aérienne française, prononcée le 17 février 2003, avait entraîné le licenciement de 3.200 personnes.
La justice reproche à Holco de n'avoir consacré qu'une partie des fonds versés par Swissair - 150 millions d'euros - au redressement de la compagnie alors que d'importants virements vers diverses sociétés basées notamment au Luxembourg étaient effectués.
L'objet de la contribution de l'ancien actionnaire principal d'Air Lib, Swissair, était de "financer la restructuration, l'activité et la reprise des actifs" d'Air Lib, selon le tribunal de commerce de Créteil lorsqu'il a confié la reprise d'Air Lib le 27 juillet 2001 à Jean-Charles Corbet.
Cinq personnes et une banque seront jugées à Paris dans ce dossier: Jean-Charles Corbet pour "abus de biens sociaux et abus de confiance", l'avocat d'Holco, Me Yves Léonzi, l'ancien repreneur potentiel néerlandais Erik De Vlieger, un ex-responsable du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), le pilote Christian Paris et la banque Canadian Imperial Bank of Commerce (CIBC) en tant que personne morale.