Ryanair réclamerait à ses financeurs institutionnels « une participation quatre fois plus élevée que celle versée actuellement », selon un communiqué adressé par la Communauté d'agglo de Pau à notre confrère Sud Ouest.
Des exigences dénoncées par les élus qui dénoncent « les méthodes de Ryanair » en matière de financement des lignes low-cost.
Ainsi, pour maintenir les lignes qui relient l'aéroport de Pau à Londres et Charleroi, et ouvrir une ligne directe sur Beauvais, la low cost exige 1,4 million d'euros par an, sur deux ans, à partager entre les collectivités du Béarn, le Conseil général et la CCI de Pau. L'addition passerait de 100 000 euros à 400 000.
Le tout « dans l'urgence » et « sans discussion ». Par ici la monnaie...
Des exigences dénoncées par les élus qui dénoncent « les méthodes de Ryanair » en matière de financement des lignes low-cost.
Ainsi, pour maintenir les lignes qui relient l'aéroport de Pau à Londres et Charleroi, et ouvrir une ligne directe sur Beauvais, la low cost exige 1,4 million d'euros par an, sur deux ans, à partager entre les collectivités du Béarn, le Conseil général et la CCI de Pau. L'addition passerait de 100 000 euros à 400 000.
Le tout « dans l'urgence » et « sans discussion ». Par ici la monnaie...

















