Nouvel échec pour Ryanair. Le troisième. Mercredi 27 février 2013, la Commission européenne a interdit au transporteur low cost irlandais de prendre le contrôle d’Aer Lingus justifiant sa décision par le risque de la création d’une "situation de monopole ou de position dominante".
Les mesures correctives présentées par la compagnie n’ont pas apporté "de réponse satisfaisante aux problèmes" qu’aurait engendrés une fusion, selon Bruxelles qui souligne que les parts de marchés cumulées des deux transporteurs représentent 87 % des vols court-courrier depuis Dublin.
Le rapprochement des deux opérateurs créerait une situation "qui aurait réduit le choix proposé à la clientèle et très probablement entraîné une hausse des prix pour les passagers", estime la Commission. Ryanair a d’ores et déjà annoncé son intention de faire appel.
Les mesures correctives présentées par la compagnie n’ont pas apporté "de réponse satisfaisante aux problèmes" qu’aurait engendrés une fusion, selon Bruxelles qui souligne que les parts de marchés cumulées des deux transporteurs représentent 87 % des vols court-courrier depuis Dublin.
Le rapprochement des deux opérateurs créerait une situation "qui aurait réduit le choix proposé à la clientèle et très probablement entraîné une hausse des prix pour les passagers", estime la Commission. Ryanair a d’ores et déjà annoncé son intention de faire appel.
