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Per Nilson, le directeur général de SAS pour la France, en place depuis le mois de septembre, connaît bien le problème de la concurrence low cost pour avoir été en charge du marché anglais pendant plusieurs années.
La compagnie scandinave a d’ailleurs été l’une des premières compagnies « classiques » à adopter la vente du one way et la combinabilité entre les différentes classes en réaction à la souplesse tarifaire des compagnies à bas coûts.
Il prend en charge la représentation hexagonale qui a réussi à maintenir une certaine stabilité des résultats l’année dernière, grâce à une augmentation du nombre de passagers. Ils ont été 355 000 en 2007 pour un chiffre d‘affaires de 50 millions d‘euros. 60% étant réalisé par la clientèle Affaires et 40% par le Loisirs.
Mais la recette unitaire, elle, s’est érodée. « Le revenu moyen de la classe Affaires s’est maintenu, celui de l’Economie Extra a baissé légèrement mais la baisse de la classe Economique a été plus forte », explique Per Nilson, sans toutefois vouloir entrer dans les détails.
SAS compte ouvrir un Lyon-Oslo
Faire du volume, c’est la stratégie qui va perdurer cette année avec la mise en place, à partir du 10 février, de quatre rotations hebdomadaires entre Paris et Helsinki et de deux rotations au départ de Nice sur la capitale finlandaise. Par ailleurs, SAS compte ouvrir un Lyon-Oslo en trois rotations/semaine à partir du 31 mars et elle opère désormais à l’année le Nice-Stockholm.
SAS représente aussi en France ses filiales nordiques comme Air Baltic ou la finlandaise Blue 1. Des investissements considérés comme stratégiques par le groupe scandinave qui souhaite désormais revendre ses parts dans la compagnie espagnole Spanair et dans la compagnie britannique BMI dont elle détient 20%, pour recentrer ses efforts sur le développement des opérations nordiques.
« Nous vendrons lorsque nous trouverons des acheteurs », commente sobrement Per Nilson. BMI qui détient 12% des slots d’Heathrow prend d’ailleurs des allures de poule aux œufs d’or dans la perspective de l’ouverture du ciel transatlantique.
La compagnie scandinave a d’ailleurs été l’une des premières compagnies « classiques » à adopter la vente du one way et la combinabilité entre les différentes classes en réaction à la souplesse tarifaire des compagnies à bas coûts.
Il prend en charge la représentation hexagonale qui a réussi à maintenir une certaine stabilité des résultats l’année dernière, grâce à une augmentation du nombre de passagers. Ils ont été 355 000 en 2007 pour un chiffre d‘affaires de 50 millions d‘euros. 60% étant réalisé par la clientèle Affaires et 40% par le Loisirs.
Mais la recette unitaire, elle, s’est érodée. « Le revenu moyen de la classe Affaires s’est maintenu, celui de l’Economie Extra a baissé légèrement mais la baisse de la classe Economique a été plus forte », explique Per Nilson, sans toutefois vouloir entrer dans les détails.
SAS compte ouvrir un Lyon-Oslo
Faire du volume, c’est la stratégie qui va perdurer cette année avec la mise en place, à partir du 10 février, de quatre rotations hebdomadaires entre Paris et Helsinki et de deux rotations au départ de Nice sur la capitale finlandaise. Par ailleurs, SAS compte ouvrir un Lyon-Oslo en trois rotations/semaine à partir du 31 mars et elle opère désormais à l’année le Nice-Stockholm.
SAS représente aussi en France ses filiales nordiques comme Air Baltic ou la finlandaise Blue 1. Des investissements considérés comme stratégiques par le groupe scandinave qui souhaite désormais revendre ses parts dans la compagnie espagnole Spanair et dans la compagnie britannique BMI dont elle détient 20%, pour recentrer ses efforts sur le développement des opérations nordiques.
« Nous vendrons lorsque nous trouverons des acheteurs », commente sobrement Per Nilson. BMI qui détient 12% des slots d’Heathrow prend d’ailleurs des allures de poule aux œufs d’or dans la perspective de l’ouverture du ciel transatlantique.