La direction d'Air France a annoncé qu'elle présenterait lors d'un "CCE se tenant dans la première quinzaine de février des projets de Plans de Départs Volontaires - Photo AF Virginie Valdois
Autres articles
-
République dominicaine : "2023 a été l'année de tous les excès"
-
Attaque Iran - Israël : les compagnies aériennes adaptent leur programme de vols
-
Kérosène aux Antilles : les compagnies réclament des millions à l'Etat ! 🔑
-
Israël, Liban et Iran : "Les Français doivent s'abstenir de se rendre" dans ces pays !
-
Air France : Grève pendant les vacances ou pas ?
Lors de la réunion du 22 janvier de son Comité Central d'Entreprise (CCE), la direction d'Air France a annoncé qu'elle présenterait lors d'un "CCE se tenant dans la première quinzaine de février des projets de Plans de Départs Volontaires personnels au sol et personnels de cabine, dont l'ampleur serait de l'ordre de 800 postes."
La compagnie a indiqué qu'elle revoyait à la baisse l'extension de la flotte et des capacités, Elle va également renforcer ses actions « achats », et poursuivre la "modération salariale et des efforts de productivité et d'adaptation des effectifs aux besoins."
Dans un communiqué, le groupe souligne qu'il poursuit "par ailleurs ses travaux dans le cadre du nouveau plan stratégique Perform 2020. Un point sera fait sur ce sujet lors de la présentation des résultats annuels le 19 février prochain."
Le groupe justifie ses mesures, en précisant qu'il doit "faire face à la détérioration des recettes unitaires intervenue depuis l'été 2014".
La compagnie a indiqué qu'elle revoyait à la baisse l'extension de la flotte et des capacités, Elle va également renforcer ses actions « achats », et poursuivre la "modération salariale et des efforts de productivité et d'adaptation des effectifs aux besoins."
Dans un communiqué, le groupe souligne qu'il poursuit "par ailleurs ses travaux dans le cadre du nouveau plan stratégique Perform 2020. Un point sera fait sur ce sujet lors de la présentation des résultats annuels le 19 février prochain."
Le groupe justifie ses mesures, en précisant qu'il doit "faire face à la détérioration des recettes unitaires intervenue depuis l'été 2014".