Les syndicats italiens défendent âprement leurs conditions de travail... (photo DR)
Air France KLM l’avait remarqué au printemps dernier : les syndicats italiens défendent âprement leurs conditions de travail.
Et ce n’est pas la promesse d’indemnités de chômage versées pendant sept ans pour les employés qui se retrouveront sur le carreau qui y a fait grand-chose.
Le week-end dernier, les menaces de liquidation, de blocages des avions et autres pénuries de fuel agitées par divers responsables italiens n’y a rien fait.
Quatre syndicats sur neuf seulement ont donné leur accord pour le démantèlement d’Alitalia et la création de la nouvelle compagnie, CAI, reprenant certains actifs d’Alitalia et ceux d’Air One.
Et ce n’est pas la promesse d’indemnités de chômage versées pendant sept ans pour les employés qui se retrouveront sur le carreau qui y a fait grand-chose.
Le week-end dernier, les menaces de liquidation, de blocages des avions et autres pénuries de fuel agitées par divers responsables italiens n’y a rien fait.
Quatre syndicats sur neuf seulement ont donné leur accord pour le démantèlement d’Alitalia et la création de la nouvelle compagnie, CAI, reprenant certains actifs d’Alitalia et ceux d’Air One.
Pilotes et PNC n’ont pas accepté les nouvelles conditions de travail
D’après une agence de presse italienne, les signataires auraient néanmoins obtenu un sauvetage d’un millier d’emplois supplémentaires : autrement dit, 7650 employés, 3 300 PNC et 1500 pilotes, soit au total 12 500 emplois au lieu de 11 500 initialement proposés par le consortium d’hommes d’affaires prêt à investir 1 milliard d’euros pour relancer une compagnie nationale.
Mais c’est justement les syndicats des pilotes et des PNC qui n’ont pas accepté les nouvelles conditions de travail. Ceux-là mêmes qui avaient rejeté la proposition d’Air France KLM précédemment.
Si l’on en croit les syndicats signataires, il faudrait encore quelques jours pour obtenir l’adhésion de tous les représentants syndicaux. Silvio Berlusconi, lui, veut aller vite.
Hier soir, il était même prêt à changer le partenaire industriel de la nouvelle compagnie. Air France KLM ne plaît à certains syndicats, alors, allons-y pour Lufthansa.
Cela suffira-t-il à séduire les pilotes ? Un miracle est si vite arrivé...
Mais c’est justement les syndicats des pilotes et des PNC qui n’ont pas accepté les nouvelles conditions de travail. Ceux-là mêmes qui avaient rejeté la proposition d’Air France KLM précédemment.
Si l’on en croit les syndicats signataires, il faudrait encore quelques jours pour obtenir l’adhésion de tous les représentants syndicaux. Silvio Berlusconi, lui, veut aller vite.
Hier soir, il était même prêt à changer le partenaire industriel de la nouvelle compagnie. Air France KLM ne plaît à certains syndicats, alors, allons-y pour Lufthansa.
Cela suffira-t-il à séduire les pilotes ? Un miracle est si vite arrivé...
















