L’histoire n’en finit pas. Entre 2004 et 2006, British Airways et Virgin Atlantic se sont « parlées » pour déterminer en commun le montant des surcharges carburant à appliquer sur les vols transatlantiques. Enfreignant ainsi les lois de la libre concurrence.
Virgin Atlantic qui a dénoncé l’accord secret aux autorités de tutelle a échappé, selon la loi britannique, aux sanctions. British Airways, au contraire, a été condamnée à payer 120 millions de livres par l’OFT (Office of Fair trading, l'organisme publique de contrôle du commerce britannique) et 150 millions de livres par le US Justice Department, le ministère de la Justice américain.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Il faut maintenant indemniser les milliers de voyageurs qui ont emprunté ces deux compagnies entre 2004 et 2006. Un accord est en cours d’approbation par un tribunal américain pour qu’un fonds de 100 millions de livres soit versé par les deux transporteurs pour rembourser les 11 millions de voyageurs indûment taxés. L’affaire devrait être réglée cet automne et les plaignants auron jusqu'en 2012 pour faire valoir leurs droits.
Et on passe maintenant aux poursuites individuelles. Si l’on en croit la presse économique britannique, l‘OFT, (Office of fair trading), devrait engager des poursuites contre Andrew Crawley, le directeur des ventes toujours en place, Ian Burns, l’ancien directeur de la communication, Alan Burnett, l’ancien directeur du marché britannique, et Martin Georges, l’ancien directeur marketing et commercial.
Apparemment, il s’agit de faire un exemple pour l’ensemble des entreprises britanniques qui seraient tentées de frauder. On devrait en savoir plus le 7 août prochain sur le type de condamnation qui sera envisagé par l’OFT.
Virgin Atlantic qui a dénoncé l’accord secret aux autorités de tutelle a échappé, selon la loi britannique, aux sanctions. British Airways, au contraire, a été condamnée à payer 120 millions de livres par l’OFT (Office of Fair trading, l'organisme publique de contrôle du commerce britannique) et 150 millions de livres par le US Justice Department, le ministère de la Justice américain.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Il faut maintenant indemniser les milliers de voyageurs qui ont emprunté ces deux compagnies entre 2004 et 2006. Un accord est en cours d’approbation par un tribunal américain pour qu’un fonds de 100 millions de livres soit versé par les deux transporteurs pour rembourser les 11 millions de voyageurs indûment taxés. L’affaire devrait être réglée cet automne et les plaignants auron jusqu'en 2012 pour faire valoir leurs droits.
Et on passe maintenant aux poursuites individuelles. Si l’on en croit la presse économique britannique, l‘OFT, (Office of fair trading), devrait engager des poursuites contre Andrew Crawley, le directeur des ventes toujours en place, Ian Burns, l’ancien directeur de la communication, Alan Burnett, l’ancien directeur du marché britannique, et Martin Georges, l’ancien directeur marketing et commercial.
Apparemment, il s’agit de faire un exemple pour l’ensemble des entreprises britanniques qui seraient tentées de frauder. On devrait en savoir plus le 7 août prochain sur le type de condamnation qui sera envisagé par l’OFT.
















