On aura beau dire et beau faire, ériger des conjectures, avancer des hypothèses, lancer des débats... le seul moyen de savoir ce qui s'est réellement passé à bord du vol 447 d'Air France, tragiquement disparu le 31 mai dernier entre Rio et Paris, ce sont les boîtes noires de l'appareil.
Or, celles-ci gisent probablement par quelques milliers de mètres de fond dans l'océan Atlantique.
Et malgré les moyens considérables mis en oeuvre par les pouvoirs publics, il semble qu'il y ait autant de chances de retrouver ces systèmes d'enregistrement, qu'une aiguille dans une meule de foin et ... à condition que les données soient exploitables.
Bien entendu, nous n'y connaissons rien à la technologie sophistiquée de l'aéronautique.
Mais quand on voit la sophistication des aéronefs dernier cri et leur prix prohibitif, on se dit que les constructeurs pourraient mettre un peu d'argent à mieux verrouiller les systèmes de sécurité.
A croire qu'ils oublient que les avions peuvent aussi tomber...
Or, celles-ci gisent probablement par quelques milliers de mètres de fond dans l'océan Atlantique.
Et malgré les moyens considérables mis en oeuvre par les pouvoirs publics, il semble qu'il y ait autant de chances de retrouver ces systèmes d'enregistrement, qu'une aiguille dans une meule de foin et ... à condition que les données soient exploitables.
Bien entendu, nous n'y connaissons rien à la technologie sophistiquée de l'aéronautique.
Mais quand on voit la sophistication des aéronefs dernier cri et leur prix prohibitif, on se dit que les constructeurs pourraient mettre un peu d'argent à mieux verrouiller les systèmes de sécurité.
A croire qu'ils oublient que les avions peuvent aussi tomber...