L’objectif de celle-ci étant d’offrir aux londoniens un accès rapide et direct vers Bruges. La Venise du Nord n’étant distante d’Ostende que d’une petite vingtaine de kilomètres. Pour la petite histoire, la compagnie irlandaise avait même obligé l’aéroport de se rebaptiser en Aéroport d’Ostende Bruges.
Le gouvernement flamand déposera dès lors plainte auprès du tribunal de Bruges. Ce qui est amusant à noter c’est qu’au même moment, Ryanair annonce une hausse de 19% de son bénéfice net au cours de l’exercice 2004/2005.
Le bénéfice net après impôts se situant quant à lui à 268,9 millions d’euros. Un an plus tôt, le bénéfice de la compagnie n’atteignait que 226,6 millions d’euros. Le nombre de passagers transportés par la compagnie a également progressé de 19% durant cette période alors que dans un même temps, la capacité de la compagnie augmentait de 16%.
Une partie des bénéfices proviendrait-elle des impayés ?
Les méchantes langues (dont nous ne sommes pas), pourraient donc croire qu’une partie des bénéfices de la société proviendraient d’impayés. Et il est de fait que cette ardoise s’ajoute aux somme que l’aéroport de Charleroi réclame à la compagnie à la lyre suite à la décision de la Commission Européennes.
Il n’empêche que de plus en plus souvent on entend des créancier qui se plaignent des retards de payements : « Si Ryanair n’a plus droits à des subsides, j’ai de temps à autres l’impression qu’en jouant sur les retards de payement ce sont nous autres les fournisseurs qui sommes en train de financer l’entreprise irlandaise», nous a ainsi expliqué désenchanté l’un des « partenaires » la low cost. Michel Ghesquière
Le gouvernement flamand déposera dès lors plainte auprès du tribunal de Bruges. Ce qui est amusant à noter c’est qu’au même moment, Ryanair annonce une hausse de 19% de son bénéfice net au cours de l’exercice 2004/2005.
Le bénéfice net après impôts se situant quant à lui à 268,9 millions d’euros. Un an plus tôt, le bénéfice de la compagnie n’atteignait que 226,6 millions d’euros. Le nombre de passagers transportés par la compagnie a également progressé de 19% durant cette période alors que dans un même temps, la capacité de la compagnie augmentait de 16%.
Une partie des bénéfices proviendrait-elle des impayés ?
Les méchantes langues (dont nous ne sommes pas), pourraient donc croire qu’une partie des bénéfices de la société proviendraient d’impayés. Et il est de fait que cette ardoise s’ajoute aux somme que l’aéroport de Charleroi réclame à la compagnie à la lyre suite à la décision de la Commission Européennes.
Il n’empêche que de plus en plus souvent on entend des créancier qui se plaignent des retards de payements : « Si Ryanair n’a plus droits à des subsides, j’ai de temps à autres l’impression qu’en jouant sur les retards de payement ce sont nous autres les fournisseurs qui sommes en train de financer l’entreprise irlandaise», nous a ainsi expliqué désenchanté l’un des « partenaires » la low cost. Michel Ghesquière