Pas d’opérations low cost. Pas de produit tout business. Le groupe Gol qui a révolutionné le transport aérien brésilien depuis 2001 avec ses opérations low cost ne veut que du très classique pour la relance de la compagnie Varig dont il a racheté la marque en avril dernier.
Pour Constantino de Oliveira Junior, le président-fondateur de la compagnie Gol, c’est le mix Business/Eco qui est le meilleur scénario pour cette compagnie qui gardera une activité de vols domestiques uni classe, mais un réseau Amérique du Sud et un réseau long courrier en bi-classe. « Il existe un marché pour la classe Premium, il faut l’exploiter », insiste-t-il.
La compagnie se prépare d’ailleurs à dévoiler son nouveau service le 23 octobre prochain.
Mais les passagers des vols Varig auront néanmoins la possibilité de continuer leur voyage soit sur le réseau Varig, soit sur celui de Gol.
De même que le groupe cherche à passer des accords interline avec les grandes majors européennes. Et le Pdg de Gol de citer Air France, Lufthansa, Alitalia ou encore Iberia comme partenaires possibles.
Des compagnies que Varig affrontera en direct sur le transatlantique puisque après l’ouverture de Francfort cet été, de la ligne de Rome-Paris-Sao Paulo (Guarulhos) en quotidien cette semaine, Varig ouvrira Londres et Madrid avant la fin de l’année.
Pour Constantino de Oliveira Junior, le président-fondateur de la compagnie Gol, c’est le mix Business/Eco qui est le meilleur scénario pour cette compagnie qui gardera une activité de vols domestiques uni classe, mais un réseau Amérique du Sud et un réseau long courrier en bi-classe. « Il existe un marché pour la classe Premium, il faut l’exploiter », insiste-t-il.
La compagnie se prépare d’ailleurs à dévoiler son nouveau service le 23 octobre prochain.
Mais les passagers des vols Varig auront néanmoins la possibilité de continuer leur voyage soit sur le réseau Varig, soit sur celui de Gol.
De même que le groupe cherche à passer des accords interline avec les grandes majors européennes. Et le Pdg de Gol de citer Air France, Lufthansa, Alitalia ou encore Iberia comme partenaires possibles.
Des compagnies que Varig affrontera en direct sur le transatlantique puisque après l’ouverture de Francfort cet été, de la ligne de Rome-Paris-Sao Paulo (Guarulhos) en quotidien cette semaine, Varig ouvrira Londres et Madrid avant la fin de l’année.
Le mix Business/Eco, meilleur scénario pour la relance
« Nous verrons ensuite pour les code share et, plus tard encore, pour intégrer éventuellement une grande alliance ». Même si l’ancienne Varig avait été membre fondateur de la Star Alliance, la nouvelle entité ne semble pas pressée d’appartenir à une famille. Jouer les « feeders » pour le plus grand nombre, telle est sa stratégie du moment.
Comment revenir sur un marché alors que la défaillance de l’ancienne Varig a laissé mauvais souvenirs et dettes ? « Nous sommes ouverts à la discussion », explique Lincoln Noriya Amano, le directeur commercial de VRG Linhas Aéreas.
« Le marché français est partagé pour moitié entre les agences de voyages traditionnelles et les agences en ligne, nous parlerons aux deux ». Mieux : la nouvelle Varig s’engage à honorer pendant deux ans les billets émis par l’ancienne Varig.
L’équipe locale sera néanmoins réduite : Guilherme Fussi, directeur de la ligne pour les marchés italiens et français et Jorge Silva (ex-Tam), directeur marketing.
Comment revenir sur un marché alors que la défaillance de l’ancienne Varig a laissé mauvais souvenirs et dettes ? « Nous sommes ouverts à la discussion », explique Lincoln Noriya Amano, le directeur commercial de VRG Linhas Aéreas.
« Le marché français est partagé pour moitié entre les agences de voyages traditionnelles et les agences en ligne, nous parlerons aux deux ». Mieux : la nouvelle Varig s’engage à honorer pendant deux ans les billets émis par l’ancienne Varig.
L’équipe locale sera néanmoins réduite : Guilherme Fussi, directeur de la ligne pour les marchés italiens et français et Jorge Silva (ex-Tam), directeur marketing.