La Direction n'a fait aucune concession sur les fermetures et le passage sous franchise des agences de voyages Nouvelles Frontières - DR
Semaine après semaine, réunion après réunion, la situation se tend chaque fois un peu plus chez TUI France.
A l'issue du comité d'entreprise extraordinaire (CEE) de lundi 2 décembre 2013, Lazare Razkallah, secrétaire général du CE et délégué CGT, est très remonté. Il s'attendait à un dialogue avec la Direction sur le dossiers des fermetures d'agences et des franchises. Mais il est reparti comme il est arrivé.
"Nous n'avons eu aucun retour de la part de la Direction, déplore-t-il. Pourtant nous avons formulé de nombreuses propositions.
Les patrons s'étaient engagés à en tenir compte mais lors de la réunion de lundi, nous n'avons vu aucune avancée."
Les fermetures de 26 agences de voyages et le passage sous franchise de 31 points de vente Nouvelles Frontières ainsi que la fermeture du call-center restent donc toujours d'actualité. Et semblent de plus en plus inévitables.
A l'issue du comité d'entreprise extraordinaire (CEE) de lundi 2 décembre 2013, Lazare Razkallah, secrétaire général du CE et délégué CGT, est très remonté. Il s'attendait à un dialogue avec la Direction sur le dossiers des fermetures d'agences et des franchises. Mais il est reparti comme il est arrivé.
"Nous n'avons eu aucun retour de la part de la Direction, déplore-t-il. Pourtant nous avons formulé de nombreuses propositions.
Les patrons s'étaient engagés à en tenir compte mais lors de la réunion de lundi, nous n'avons vu aucune avancée."
Les fermetures de 26 agences de voyages et le passage sous franchise de 31 points de vente Nouvelles Frontières ainsi que la fermeture du call-center restent donc toujours d'actualité. Et semblent de plus en plus inévitables.
"Le CE est très remonté"
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C'est en tout en cas ce qu'on compris les représentants du personnel en lisant TourMaG.com, lundi 2 décembre 2013 ( Lire : P. de Izaguirre : "Nouvelles Frontières se meurt à cause de sa distribution interne" !).
"Nous apprenons que, selon Pascal de Izaguirre, Nouvelles Frontières se meurt à cause de sa distribution en interne, alors que nous tentons tout pour la sauver. En fin de compte, nous nous disons que tout est déjà joué d'avance", déduit Lazare Razkallah.
Il regrette que la Direction ait organisé "48 heures de séances pour rien" et dénonce un simulacre de négociation avec les syndicats sur le PSE. "Le CE est très remonté car il n'est pas du tout écouté. Nous allons d'ailleurs en informer la Direccte", prévient le délégué CGT.
Il affirme qu'il montera à nouveau au créneau pour défendre les agence à l'occasion du CEE de vendredi 6 décembre 2013. Si aucune avancée n'est constatée par les représentants du personnel à l'issue de cette réunion, des actions de mobilisation et de contestation pourraient rapidement être lancées.
"Mais nous n'aurons pas grand chose à faire, signale Lazare Razkallah. La distribution de TUI France est en ébullition. Nous essayons même de calmer les salariés actuellement."
Certainement un message destiné à prévenir la Direction qu'une simple étincelle suffirait à embraser la révolte des salariés.
"Nous apprenons que, selon Pascal de Izaguirre, Nouvelles Frontières se meurt à cause de sa distribution en interne, alors que nous tentons tout pour la sauver. En fin de compte, nous nous disons que tout est déjà joué d'avance", déduit Lazare Razkallah.
Il regrette que la Direction ait organisé "48 heures de séances pour rien" et dénonce un simulacre de négociation avec les syndicats sur le PSE. "Le CE est très remonté car il n'est pas du tout écouté. Nous allons d'ailleurs en informer la Direccte", prévient le délégué CGT.
Il affirme qu'il montera à nouveau au créneau pour défendre les agence à l'occasion du CEE de vendredi 6 décembre 2013. Si aucune avancée n'est constatée par les représentants du personnel à l'issue de cette réunion, des actions de mobilisation et de contestation pourraient rapidement être lancées.
"Mais nous n'aurons pas grand chose à faire, signale Lazare Razkallah. La distribution de TUI France est en ébullition. Nous essayons même de calmer les salariés actuellement."
Certainement un message destiné à prévenir la Direction qu'une simple étincelle suffirait à embraser la révolte des salariés.
