
Crédit Photo Véronique Narame
Le Maroc présente une offre touristique très diversifiée qu’il met en valeur afin de drainer une vaste clientèle, tout au long de l’année. Le balnéaire traditionnellement connu grâce à Agadir s’est enrichi de nouvelles stations avec Mazagan et Saïdia, en attendant la livraison de Mogador, à la rentrée.
Le tourisme saharien est lui aussi suffisamment balisé, avec, en point d’orgue, Merzouga et ses dunes, ainsi que Figuig dont le développement va crescendo. La montagne et ses nombreux treks dans l’Atlas - dont l’ascension du Mont Toubkal – constitue une autre des thématiques touristiques. « L’Atlas fait partie des ressources touristiques importantes. C’est une zone protégée très prisée par les randonneurs français et britanniques » atteste Hamid Addou, directeur général de l’Office national marocain du tourisme (ONMT).
Les circuits des villes impériales (Fès, Meknès, Marrakech, Rabat) sont quant à eux appréciés par un public en quête de culture et de traditions. Ils sont complétés par le city break pratiqué dans les mégapoles que sont Casablanca ou à Rabat, et par le secteur du tourisme MICE.
Le Maroc version nature est une autre déclinaison possible de découverte du pays. Elle est mise en exergue par l’ONMT. « La vision 2020 du tourisme marocain fait la part belle au développement durable et à l’écologie.
Nous sommes soucieux à cette enseigne de protéger l’environnement et de ne pas déranger les populations locales. La région du Rif, avec notamment Chefchaouen, est une destination qui fonctionne déjà très bien, à petite échelle » confirme Hamid Addou.
Le tourisme saharien est lui aussi suffisamment balisé, avec, en point d’orgue, Merzouga et ses dunes, ainsi que Figuig dont le développement va crescendo. La montagne et ses nombreux treks dans l’Atlas - dont l’ascension du Mont Toubkal – constitue une autre des thématiques touristiques. « L’Atlas fait partie des ressources touristiques importantes. C’est une zone protégée très prisée par les randonneurs français et britanniques » atteste Hamid Addou, directeur général de l’Office national marocain du tourisme (ONMT).
Les circuits des villes impériales (Fès, Meknès, Marrakech, Rabat) sont quant à eux appréciés par un public en quête de culture et de traditions. Ils sont complétés par le city break pratiqué dans les mégapoles que sont Casablanca ou à Rabat, et par le secteur du tourisme MICE.
Le Maroc version nature est une autre déclinaison possible de découverte du pays. Elle est mise en exergue par l’ONMT. « La vision 2020 du tourisme marocain fait la part belle au développement durable et à l’écologie.
Nous sommes soucieux à cette enseigne de protéger l’environnement et de ne pas déranger les populations locales. La région du Rif, avec notamment Chefchaouen, est une destination qui fonctionne déjà très bien, à petite échelle » confirme Hamid Addou.
2 conventions ont été signées fin juin
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Plusieurs circuits sont mis en perspectives, tels la Route du Miel dans le Pays d’accueil touristique (PAT) d’Immouzer Ida Outanane, ou encore la Route des cèdres dans le PAT d’Ifrane où un resort nature conçu dans le cadre du Plan Biladi ouvre d’ailleurs ce mois de juillet.
« Dans la région de l’Oriental, les potentialités sont importantes s’agissant du tourisme rural. La plaine des Angades, le haut plateau de Taourirt, Berkane, la chaine montagneuse des Béni Snassen…sont quelques-uns des sites à visiter » témoigne Karim Belmehdi, Directeur général de l’agence Triffa voyages, qui propose des voyages à la carte entre 850 et 1 100 euros la semaine, vol compris, avec en apothéose une soirée marocaine reconstituant l’ambiance d’un mariage.
Pour renforcer l’attractivité du tourisme rural sur l’échiquier des circuits marocains, deux conventions ont été signées fin juin, à Rabat. La première concerne la valorisation des produits du terroir via la mise en tourisme des produits artisanaux et agricoles locaux.
C’est la Société marocaine d'ingénierie touristique (SMIT), entité sous tutelle du ministère du Tourisme et de l'Artisanat, qui a initié la mise en place d'un cadre de partenariat entre son ministère de tutelle et le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime, le ministère délégué auprès du Premier ministre chargé des Affaires économiques et générales, et le secrétariat d'Etat auprès du ministre du Tourisme et de l'Artisanat.
« Dans la région de l’Oriental, les potentialités sont importantes s’agissant du tourisme rural. La plaine des Angades, le haut plateau de Taourirt, Berkane, la chaine montagneuse des Béni Snassen…sont quelques-uns des sites à visiter » témoigne Karim Belmehdi, Directeur général de l’agence Triffa voyages, qui propose des voyages à la carte entre 850 et 1 100 euros la semaine, vol compris, avec en apothéose une soirée marocaine reconstituant l’ambiance d’un mariage.
Pour renforcer l’attractivité du tourisme rural sur l’échiquier des circuits marocains, deux conventions ont été signées fin juin, à Rabat. La première concerne la valorisation des produits du terroir via la mise en tourisme des produits artisanaux et agricoles locaux.
C’est la Société marocaine d'ingénierie touristique (SMIT), entité sous tutelle du ministère du Tourisme et de l'Artisanat, qui a initié la mise en place d'un cadre de partenariat entre son ministère de tutelle et le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime, le ministère délégué auprès du Premier ministre chargé des Affaires économiques et générales, et le secrétariat d'Etat auprès du ministre du Tourisme et de l'Artisanat.
Enveloppe budgétaire de 6 millions de dirhams sur 5 ans
La deuxième convention de partenariat pour le financement des projets touristiques dans les Pays d'accueils touristiques (PAT) en milieu rural a été signée entre le ministère du Tourisme et de l'Artisanat et le Crédit agricole du Maroc.
Ce dernier mobilise une enveloppe budgétaire de 6 millions de dirhams sur 5 ans pour la mise en œuvre de la présente convention au niveau des 9 PAT concernés.
Il s’agit en l’occurrence de Chefchaouen, Ifrane, Azilal, Ida Outanane, Al Hoceima, Ouarzazate, Zagora, Errachidia, et Chtouka Aït Baha.
Ces « pays » permettent la découverte des routes de la rose, du safran, de l’argan ou des amandiers en fleurs. Ou encore la pratique des bains de sable, des randonnées à ski et du mulet-ski, du canyoning, la chasse et de la pêche.
Ce dernier mobilise une enveloppe budgétaire de 6 millions de dirhams sur 5 ans pour la mise en œuvre de la présente convention au niveau des 9 PAT concernés.
Il s’agit en l’occurrence de Chefchaouen, Ifrane, Azilal, Ida Outanane, Al Hoceima, Ouarzazate, Zagora, Errachidia, et Chtouka Aït Baha.
Ces « pays » permettent la découverte des routes de la rose, du safran, de l’argan ou des amandiers en fleurs. Ou encore la pratique des bains de sable, des randonnées à ski et du mulet-ski, du canyoning, la chasse et de la pêche.