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"Le trafic aérien français a enregistré son premier déclin mensuel depuis 2003, avec une baisse de 3% en septembre comparé au même mois de l'an passé", a annoncé l'Union des Aéroports Français dans un communiqué de presse.
Une conjoncture qui incite les compagnies à la prudence et aux économies.
Conséquence : "Pour la saison d’hiver, des allègements de fréquences et suppressions de lignes sont maintenant annoncés, notamment par Air France, au départ d’aéroports régionaux (notamment sur Roissy-Charles de Gaulle)." précise le communiqué.
Toutefois, "Si l’on peut comprendre une décision d’entreprise du groupe Air France en raison de la rentabilité d’une liaison, l’Union des Aéroports Français (UAF) regrette cependant qu’aucune autre compagnie française ne se montre susceptible de reprendre l’exploitation de certaines de ces lignes délaissées, qui pourraient pourtant s’avérer rentables."
L’Union des Aéroports Français rappelle ainsi que "la desserte des régions de France, dans l’esprit de l’aménagement du territoire, doit demeurer une préoccupation, pour ne pas dire une priorité. Il est nécessaire de relier certaines régions françaises qui ne le sont pas, ou qui ne le sont plus, au reste du monde."
Une conjoncture qui incite les compagnies à la prudence et aux économies.
Conséquence : "Pour la saison d’hiver, des allègements de fréquences et suppressions de lignes sont maintenant annoncés, notamment par Air France, au départ d’aéroports régionaux (notamment sur Roissy-Charles de Gaulle)." précise le communiqué.
Toutefois, "Si l’on peut comprendre une décision d’entreprise du groupe Air France en raison de la rentabilité d’une liaison, l’Union des Aéroports Français (UAF) regrette cependant qu’aucune autre compagnie française ne se montre susceptible de reprendre l’exploitation de certaines de ces lignes délaissées, qui pourraient pourtant s’avérer rentables."
L’Union des Aéroports Français rappelle ainsi que "la desserte des régions de France, dans l’esprit de l’aménagement du territoire, doit demeurer une préoccupation, pour ne pas dire une priorité. Il est nécessaire de relier certaines régions françaises qui ne le sont pas, ou qui ne le sont plus, au reste du monde."