
Les années passent et Maurice reste un exemple mondial d‘hôtellerie balnéaire haut de gamme réussie - DR : JDL
« Maurice est plus qu’un voyage, c’est une rencontre, une émotion humaine ».
Hier soir Robert Desvaux président de l‘Office de Tourisme de l‘île Maurice disait vrai. En une petite phrase il résumait le message que le réseau veut transmettre à ses forces de ventes.
Le contact humain, la qualité de l'accueil, de l‘écoute, l'amour de son métier sont les valeurs ajoutées d‘un agent de voyages face au net.
Les années passent et Maurice reste un exemple mondial d‘hôtellerie balnéaire haut de gamme réussie.
Quelques heures passées au Trou aux Biches permettent d’en témoigner. La beauté du lieu, l‘harmonie, l‘accueil et les mille et une petites attentions font la différence. C’est un must.
Hier soir Robert Desvaux président de l‘Office de Tourisme de l‘île Maurice disait vrai. En une petite phrase il résumait le message que le réseau veut transmettre à ses forces de ventes.
Le contact humain, la qualité de l'accueil, de l‘écoute, l'amour de son métier sont les valeurs ajoutées d‘un agent de voyages face au net.
Les années passent et Maurice reste un exemple mondial d‘hôtellerie balnéaire haut de gamme réussie.
Quelques heures passées au Trou aux Biches permettent d’en témoigner. La beauté du lieu, l‘harmonie, l‘accueil et les mille et une petites attentions font la différence. C’est un must.
Le réseau AS réaliserait 30 % des ventes de l’île Maurice
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A 11 heures de vol de la France, Maurice est une île-jardin protégée par une barrière de corail. Elle s’aborde à coup de superlatifs.
Mais faut-il encore la présenter ? Maurice occupe une place enviée sur le podium des grandes destinations touristiques. En France, elle figure au top des destinations long-courriers.
Selon les chiffres du CETO, l’hiver dernier (01/11/5011 au 30/04/2012), elle avait accueilli 71 241 touristes français.
En dépit d’un léger recul, ce trafic la plaçait en troisième position des destinations long-courriers les plus vendues par les adhérents de l’association, derrière la République Dominicaine (106 173) et les Antilles Françaises (96 911).
A la question de savoir « quel serait votre rêve de vacances balnéaires ? », elle arrive en tête.
La France représente 46 % du marché européen - le réseau AS réaliserait 30 % des ventes de l’île Maurice - et 30 % du marché mondial.
Mais faut-il encore la présenter ? Maurice occupe une place enviée sur le podium des grandes destinations touristiques. En France, elle figure au top des destinations long-courriers.
Selon les chiffres du CETO, l’hiver dernier (01/11/5011 au 30/04/2012), elle avait accueilli 71 241 touristes français.
En dépit d’un léger recul, ce trafic la plaçait en troisième position des destinations long-courriers les plus vendues par les adhérents de l’association, derrière la République Dominicaine (106 173) et les Antilles Françaises (96 911).
A la question de savoir « quel serait votre rêve de vacances balnéaires ? », elle arrive en tête.
La France représente 46 % du marché européen - le réseau AS réaliserait 30 % des ventes de l’île Maurice - et 30 % du marché mondial.
Fin septembre : Maurice enregistrait + 2,3 % de trafic
En 2011, tous marchés émetteurs confondus, Maurice a accueilli 964 642 visiteurs étrangers, un chiffre stable par rapport à 2010 en dépit de la crise qui touche l’Europe.
L’Asie est là pour consolider le marché.
Michael Sik Yuen Ministre du Tourisme mauricien a donné ces derniers chiffres : fin septembre 2012, Maurice enregistrait +2,3% de trafic et +8% en recettes touristiques.
La destination poursuit sa progression et pas question de brader les prix.
« Nous avons diversifié nos stratégies. Le comportement des touristes a changé avec le net. Ils ont le choix, ils peuvent comparer une destination à une autre. La compétition est rude. C‘est pourquoi nous diversifions nos stratégies.
Au-delà d’une hôtellerie haut de gamme qui doit rester son image forte, Maurice veut aussi faire valoir la diversité de ses cultures, son patrimoine naturel, son histoire où la France a rempli de grandes pages.
Découvrir Curepipe, Pointe aux Canonniers, Cap Malheureux, l’île aux Cerfs… villages et îlots rappellent de bien jolie façon que jadis Maurice se disait « Isle de France ».
L’Asie est là pour consolider le marché.
Michael Sik Yuen Ministre du Tourisme mauricien a donné ces derniers chiffres : fin septembre 2012, Maurice enregistrait +2,3% de trafic et +8% en recettes touristiques.
La destination poursuit sa progression et pas question de brader les prix.
« Nous avons diversifié nos stratégies. Le comportement des touristes a changé avec le net. Ils ont le choix, ils peuvent comparer une destination à une autre. La compétition est rude. C‘est pourquoi nous diversifions nos stratégies.
Au-delà d’une hôtellerie haut de gamme qui doit rester son image forte, Maurice veut aussi faire valoir la diversité de ses cultures, son patrimoine naturel, son histoire où la France a rempli de grandes pages.
Découvrir Curepipe, Pointe aux Canonniers, Cap Malheureux, l’île aux Cerfs… villages et îlots rappellent de bien jolie façon que jadis Maurice se disait « Isle de France ».