Mais que contenaient donc les flacons suspects dans les valises des participants de la 11e Convention du Snav IDF ?
Une solution douteuse susceptible de contenir des éléments explosifs ?
Que nenni, il s'agissait n'innocentes bouteilles d'huile d'olive que l'Hôtel Mövenpick leur avait aimablement offert le week end dernier.
Des bouteilles destinées à être enregistrées en soute mais qui avaient, apparemment, tapé dans l'œil des cerbères alors même qu'ils n'avaient rien trouvé à redire au 25 cl d’eau minérale en bagage à main.
Ils ont donc, avec beaucoup de zèle, fait systématiquement ouvrir toutes les valises pour confisquer la marchandise.
Une solution douteuse susceptible de contenir des éléments explosifs ?
Que nenni, il s'agissait n'innocentes bouteilles d'huile d'olive que l'Hôtel Mövenpick leur avait aimablement offert le week end dernier.
Des bouteilles destinées à être enregistrées en soute mais qui avaient, apparemment, tapé dans l'œil des cerbères alors même qu'ils n'avaient rien trouvé à redire au 25 cl d’eau minérale en bagage à main.
Ils ont donc, avec beaucoup de zèle, fait systématiquement ouvrir toutes les valises pour confisquer la marchandise.
Une ''Huile'' gradée a alors été consultée...
En l’occurrence, la raison invoquée est qu’il aurait fallu des coffrets en bois pour transporter les récipients mis en cause... Merci à Mövenpick de bien vouloir prendre note la prochaine fois pour éviter de faire des offres de Gascon à ses invités.
Mais Gérard de Vion de Gaillon, administrateur, ne s'en est pas laissé compter et son sang de Breton n’a fait qu’un tour. Il a appelé derechef à la rescousse la chef d'escale Air France et… l'affaire s'est corsée.
Une "Huile" gradée a alors été consultée et un compromis trouvé. Selon les militaires, il fallait entreposer les bouteilles dans un carton pour pouvoir les embarquer.
Aussitôt dit aussitôt fait. Quelques minutes d'huile de coude plus tard, elles étaient douillettement rangées dans leur contenant. Sauf que les contrôleurs, vexés, ont jugé la taille du carton réglementairement "insuffisante".
Une mauvaise foi qui a exaspéré GdVdG. Dépité, il s'est souvenu qu'il avait été juge au Tribunal de commerce et a rendu une sentence à la Salomon : puisqu'on ne peut pas emporter les bouteilles incriminées, alors autant les restituer à leur propriétaire !
Eh oui, après tout, on va pas se « friter » pour si peu…
Mais Gérard de Vion de Gaillon, administrateur, ne s'en est pas laissé compter et son sang de Breton n’a fait qu’un tour. Il a appelé derechef à la rescousse la chef d'escale Air France et… l'affaire s'est corsée.
Une "Huile" gradée a alors été consultée et un compromis trouvé. Selon les militaires, il fallait entreposer les bouteilles dans un carton pour pouvoir les embarquer.
Aussitôt dit aussitôt fait. Quelques minutes d'huile de coude plus tard, elles étaient douillettement rangées dans leur contenant. Sauf que les contrôleurs, vexés, ont jugé la taille du carton réglementairement "insuffisante".
Une mauvaise foi qui a exaspéré GdVdG. Dépité, il s'est souvenu qu'il avait été juge au Tribunal de commerce et a rendu une sentence à la Salomon : puisqu'on ne peut pas emporter les bouteilles incriminées, alors autant les restituer à leur propriétaire !
Eh oui, après tout, on va pas se « friter » pour si peu…