"Les ventes en France ont baissé alors que celles de l’Algérie ont augmenté. Le marché n’a pas beaucoup augmenté. Les promotions ont boosté le trafic avec un prix moyen de billet qui n’arrête pas de chuter..."
Cette information a été confirmée au quotidien par Arezki Idjerouidène, PDG de la compagnie.
Le PDG confirme le fait qu'il y a des « petits réseaux à Lyon, Marseille et un peu partout en France, mais le plus gros a été détecté à Paris.
Il s’agit de sommes importantes, on aurait toléré 1 ou 2 cas, mais le problème, c’est qu’il s’agit d’un trafic à grande échelle ». (...)
« Il s’agit de plusieurs millions. Il y a tout un chiffre d’affaires qui revient de droit aux agences de voyages installées légalement. Il n’y a pas qu’Aigle Azur qui a été touchée par ce trafic. »
Le PDG confirme le fait qu'il y a des « petits réseaux à Lyon, Marseille et un peu partout en France, mais le plus gros a été détecté à Paris.
Il s’agit de sommes importantes, on aurait toléré 1 ou 2 cas, mais le problème, c’est qu’il s’agit d’un trafic à grande échelle ». (...)
« Il s’agit de plusieurs millions. Il y a tout un chiffre d’affaires qui revient de droit aux agences de voyages installées légalement. Il n’y a pas qu’Aigle Azur qui a été touchée par ce trafic. »
La part de marché (France/Algérie) d’Aigle Azur tourne autour de 45%
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Après cette découverte, Aigle Azur a annulé les billets litigieux.
Plusieurs passagers n’ont pas pu ainsi embarquer.
Ce trafic a bénéficié de la complicité d’agences de voyages algériennes « agréées par l’IATA et qui agissent en toute légalité sur le marché algérien ».
Ce genre de trafic a profité de la cherté du billet entre les deux pays pour proposer un tarif moins cher mais illégal.
Dans ce contexte, il faut savoir que la part de marché (France/Algérie) d’Aigle Azur tourne autour de 45%.
« Les ventes en France ont baissé alors que celles de l’Algérie ont augmenté. Le marché n’a pas beaucoup augmenté.
Les promotions ont boosté le trafic avec un prix moyen de billet qui n’arrête pas de chuter. Ces deux dernières années, il a chuté de plus de 30%. »
Plusieurs passagers n’ont pas pu ainsi embarquer.
Ce trafic a bénéficié de la complicité d’agences de voyages algériennes « agréées par l’IATA et qui agissent en toute légalité sur le marché algérien ».
Ce genre de trafic a profité de la cherté du billet entre les deux pays pour proposer un tarif moins cher mais illégal.
Dans ce contexte, il faut savoir que la part de marché (France/Algérie) d’Aigle Azur tourne autour de 45%.
« Les ventes en France ont baissé alors que celles de l’Algérie ont augmenté. Le marché n’a pas beaucoup augmenté.
Les promotions ont boosté le trafic avec un prix moyen de billet qui n’arrête pas de chuter. Ces deux dernières années, il a chuté de plus de 30%. »