D'après une étude menée par Sécafi Alpha et relayée par la CGT d'Airbus et des principaux sous-traitants de l'avionneur, de 7 500 à 10 000 postes équivalents temps-plein seraient menacés par la fin de grands programmes de développement d'ici 2018.
D'après un article publié sur Lentreprise.Lexpress.fr, la diminution de l'effectif global (environ 25 000 emplois sous-traitance comprise) serait répartie à 50/50 entre les salariés en propre du constructeur et ceux de ses sous-traitants.
Pour autant, aucune licenciement ne serait programmé chez Airbus. "Le PDG a déjà annoncé qu'il n'y aurait pas de PSE, mais plutôt des procédures de mobilité dans le groupe ou de non-remplacement des départs naturels", précise Philippe Fernin, délégué syndical central adjoint de la CGT d'Airbus à Toulouse.
D'après un article publié sur Lentreprise.Lexpress.fr, la diminution de l'effectif global (environ 25 000 emplois sous-traitance comprise) serait répartie à 50/50 entre les salariés en propre du constructeur et ceux de ses sous-traitants.
Pour autant, aucune licenciement ne serait programmé chez Airbus. "Le PDG a déjà annoncé qu'il n'y aurait pas de PSE, mais plutôt des procédures de mobilité dans le groupe ou de non-remplacement des départs naturels", précise Philippe Fernin, délégué syndical central adjoint de la CGT d'Airbus à Toulouse.
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