En France, les entreprises dépensent chaque année 12 milliards d’euros en communication événementielle, dont 10 milliards en communication externe et 2 milliards en communication interne.
Parmi les 400 agences spécialisées dans l’événementiel, l’Association des agences de communication événementielle (ANAé) en fédère une soixantaine.
Chaque année, l'ANAé réalise auprès d’elles plusieurs enquêtes « flash » pour sonder les tendances du marché.
« Comme il est important de ne pas se baser uniquement sur un questionnaire interne, nous avons commandé à OpinionWay un baromètre, mais auprès des annonceurs, cette fois.
C’est d’ailleurs notre première étude rigoureuse pour savoir comment ils perçoivent l’événementiel » explique Michel Bensadoun, président d’ANAé.
Parmi les 400 agences spécialisées dans l’événementiel, l’Association des agences de communication événementielle (ANAé) en fédère une soixantaine.
Chaque année, l'ANAé réalise auprès d’elles plusieurs enquêtes « flash » pour sonder les tendances du marché.
« Comme il est important de ne pas se baser uniquement sur un questionnaire interne, nous avons commandé à OpinionWay un baromètre, mais auprès des annonceurs, cette fois.
C’est d’ailleurs notre première étude rigoureuse pour savoir comment ils perçoivent l’événementiel » explique Michel Bensadoun, président d’ANAé.
"L’agence événementielle n’a pas le droit à l’erreur"
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OpinionWay a donc interrogé 150 annonceurs, parmi lesquels 22 occupent les cent premières places sur le marché français.
« Rien ne nous a vraiment étonné dans les conclusions de ce baromètre, qui nous a été livré en juin dernier, » confie Michel Bensadoun, qui se réjouit que les deux tiers des annonceurs lancent un appel d’offre pour sélectionner leur agence.
Car l'ANAé fait justement de la relation contractuelle son cheval de bataille.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les références client ne sont pas le critère de choix le plus important pour l’annonceur, qui est davantage sensible à la qualité des relations le liant à son agence et ses équipes.
Plus que le prix, qui n’est mentionné en première position que par 14 % des sondés, la confiance motive leur choix dans 56 % des cas.
« L’annonceur a besoin d’un contact régulier avec son agence. En contre-partie, l’agence événementielle n’a pas le droit à l’erreur, » explique Michel Bensadoun, qui a orchestré les dernières universités d’été d’ANAé sur le thème de la confiance.
Cependant, si Michel Bensadoun partage les conclusions du baromètre OpinionWay sur les motivations et les critères de choix de ses clients, il reste réservé sur les tendances du marché en 2013.
« Tout le monde est inquiet. Dans le MICE, on ira moins loin, moins longtemps et pour moins cher. Mais l’événementiel fait partie intégrante de la stratégie des entreprises » confie le président qui maintient toutefois que les agences événementielles feront une très bonne fin 2012.
« Rien ne nous a vraiment étonné dans les conclusions de ce baromètre, qui nous a été livré en juin dernier, » confie Michel Bensadoun, qui se réjouit que les deux tiers des annonceurs lancent un appel d’offre pour sélectionner leur agence.
Car l'ANAé fait justement de la relation contractuelle son cheval de bataille.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les références client ne sont pas le critère de choix le plus important pour l’annonceur, qui est davantage sensible à la qualité des relations le liant à son agence et ses équipes.
Plus que le prix, qui n’est mentionné en première position que par 14 % des sondés, la confiance motive leur choix dans 56 % des cas.
« L’annonceur a besoin d’un contact régulier avec son agence. En contre-partie, l’agence événementielle n’a pas le droit à l’erreur, » explique Michel Bensadoun, qui a orchestré les dernières universités d’été d’ANAé sur le thème de la confiance.
Cependant, si Michel Bensadoun partage les conclusions du baromètre OpinionWay sur les motivations et les critères de choix de ses clients, il reste réservé sur les tendances du marché en 2013.
« Tout le monde est inquiet. Dans le MICE, on ira moins loin, moins longtemps et pour moins cher. Mais l’événementiel fait partie intégrante de la stratégie des entreprises » confie le président qui maintient toutefois que les agences événementielles feront une très bonne fin 2012.
