A Charm el Cheikh, le paradis s'est transformé en enfer.
En Égypte comme en Turquie, l'industrie du tourisme fait vivre des millions de personnes. Céder aux menaces et au chantage terroriste c'est punir une nouvelle fois ces populations, les empêcher d'améliorer leur niveau de vie et, partant, de préparer le terreau sur lequel les recruteurs extrémistes font germer l'obscurantisme et la haine de l'autre.
Le risque zéro n'existe pas, vous diront les spécialistes. Même si le constant est douloureux, il faut se dire que vos clients aujourd'hui ne sont plus en sécurité nulle part. Il n'y a pas d'endroit sur terre, aussi idyllique soit-il, où un groupe de fanatiques, un phénomène météo, une épidémie ou que sais-je encore, ne puissent gâcher définitivement vos vacances.
Faut-il pour autant se terrer chez soi ? Des dizaines de milliers de personnes décèdent chaque année des accidents de la route. Renonce-t-on pour autant à la voiture ? Certes non.
Le fléau terroriste il faut le combattre de toutes nos forces
Bien entendu, il ne faut pas se résigner pour autant. Le fléau terroriste il faut le combattre de toutes nos forces. Et nous le battrons d'autant plus en brèche que nous continuerons à faire partir nos clients en vacances dans les destinations même que l'on voudrait nous voir "châtier".
Évitons d'enfoncer les portes ouvertes comme ce journaliste allemand qui donnait récemment comme consignes d'éviter les grands complexes hôteliers et de leur préférer des petites unités, moins risquées.
Un conseil que l'on espère de circonstance, car il signifierait la mort du tourisme dans les pays qui ont lourdement investi dans ce type d'infrastructures.
Il ne faut pas oublier que seule l'industrialisation permet de rendre accessibles certaines destinations au plus grand nombre, et que la démocratisation du tourisme (et la paix) est à ce prix.
Le risque zéro n'existe pas, vous diront les spécialistes. Même si le constant est douloureux, il faut se dire que vos clients aujourd'hui ne sont plus en sécurité nulle part. Il n'y a pas d'endroit sur terre, aussi idyllique soit-il, où un groupe de fanatiques, un phénomène météo, une épidémie ou que sais-je encore, ne puissent gâcher définitivement vos vacances.
Faut-il pour autant se terrer chez soi ? Des dizaines de milliers de personnes décèdent chaque année des accidents de la route. Renonce-t-on pour autant à la voiture ? Certes non.
Le fléau terroriste il faut le combattre de toutes nos forces
Bien entendu, il ne faut pas se résigner pour autant. Le fléau terroriste il faut le combattre de toutes nos forces. Et nous le battrons d'autant plus en brèche que nous continuerons à faire partir nos clients en vacances dans les destinations même que l'on voudrait nous voir "châtier".
Évitons d'enfoncer les portes ouvertes comme ce journaliste allemand qui donnait récemment comme consignes d'éviter les grands complexes hôteliers et de leur préférer des petites unités, moins risquées.
Un conseil que l'on espère de circonstance, car il signifierait la mort du tourisme dans les pays qui ont lourdement investi dans ce type d'infrastructures.
Il ne faut pas oublier que seule l'industrialisation permet de rendre accessibles certaines destinations au plus grand nombre, et que la démocratisation du tourisme (et la paix) est à ce prix.