Il ne s'agit certes que d'un rapport d'étape mais, très franchement, on peut d'ores et déjà commencer à se poser des questions sur la suite à venir... et les solutions qui seront proposées à la Distribution.
A la place des agences, je ne me ferais pas trop d'illusions (si d'aventure c'était le cas...) et ne compterai pas trop là dessus pour orienter ma stratégie future.
En effet, les grandes tendances de ce qui était censé constituer une "Vision prospective des grands enjeux" pour "développer des stratégies de consolidation et de repositionnement éventuel", sont d'une banalité affligeante.
On chercherait en vain une proposition originale dans ce qui est censé constituer "une étude stratégique sur l'avenir de la profession d'agent de voyages". Mais savez-vous ce que subdore l'étude en question ?
Des poncifs répétés tels une antienne, d'année en année
Je vous le donne en cent comme en mille : les agences de voyage sont menacées par les nouveaux modes consuméristes et internet. Pas possible ! Vous le saviez, vous ?
On nous explique que les "pistes" des évolutions possibles sont : la carte de la valeur ajoutée de proximité, le développement du multi-canal, la mutualisation de moyens, le regroupement et la spécialisation.
Bref, des poncifs qu'on répète tels une antienne, d'année en année, dans les congrès et les conventions réseaux. Quel gâchis de payer des spécialistes pour prédire l'avenir d'un présent déjà passé...
Autre "scoop" : l'important marché potentiel pour les agences de voyage réceptives "malgré un environnement défavorable".
Et que propose-t-on pour y remédier ? Parmi les propositions retenues, le développement de Resinfrance.com, le GDS "arlésienne" de la destination France que même Philippe Demonchy, ex-patron de Selectour n'a jamais réussi à imposer.
De qui se moque-t-on ?
A la place des agences, je ne me ferais pas trop d'illusions (si d'aventure c'était le cas...) et ne compterai pas trop là dessus pour orienter ma stratégie future.
En effet, les grandes tendances de ce qui était censé constituer une "Vision prospective des grands enjeux" pour "développer des stratégies de consolidation et de repositionnement éventuel", sont d'une banalité affligeante.
On chercherait en vain une proposition originale dans ce qui est censé constituer "une étude stratégique sur l'avenir de la profession d'agent de voyages". Mais savez-vous ce que subdore l'étude en question ?
Des poncifs répétés tels une antienne, d'année en année
Je vous le donne en cent comme en mille : les agences de voyage sont menacées par les nouveaux modes consuméristes et internet. Pas possible ! Vous le saviez, vous ?
On nous explique que les "pistes" des évolutions possibles sont : la carte de la valeur ajoutée de proximité, le développement du multi-canal, la mutualisation de moyens, le regroupement et la spécialisation.
Bref, des poncifs qu'on répète tels une antienne, d'année en année, dans les congrès et les conventions réseaux. Quel gâchis de payer des spécialistes pour prédire l'avenir d'un présent déjà passé...
Autre "scoop" : l'important marché potentiel pour les agences de voyage réceptives "malgré un environnement défavorable".
Et que propose-t-on pour y remédier ? Parmi les propositions retenues, le développement de Resinfrance.com, le GDS "arlésienne" de la destination France que même Philippe Demonchy, ex-patron de Selectour n'a jamais réussi à imposer.
De qui se moque-t-on ?