« Il faut revenir à la configuration qui permettait auparavant à Axis Airways d’être rentable ». Pierre-Olivier Di Fusco, président de la compagnie aérienne en cessation de paiement depuis jeudi dernier, préconise ainsi une réduction de la flotte d’Axis, une solution de « sortie de crise » permettant de rétablir la situation du transporteur pendant la période d'observation de six mois, et d’assurer la jonction avec le prochain programme d’été.
Sur les cinq appareils d’Axis, deux d’entre eux (avec leurs équipages) quitteraient la flotte : Pierre-Olivier Di Fusco est convaincu de l’intérêt d’autres transporteurs pour son B 757-200 ER et pour l’un de ses B737-300.
Axis Airways conserverait alors un B737-300 à Marseille et un autre à Lyon, deux villes au départ desquelles la compagnie assurerait du fret express la nuit et du vol charter le jour. Son B 737-400 resterait à Paris et exécuterait comme prévu les contrats TO.
Au sujet du désaveu de l’actuelle direction de la compagnie par son actionnaire de référence Prado Finances, Pierre-Olivier Di Fusco rappelle que ce dernier n’a plus la main. « Nous allons désormais profiter de la mission d’assistance de Maître Douhaire (l’administrateur judiciaire, ndr) pour traverser aux mieux la période d'observation. Il nous faut aussi trouver un nouvel actionnaire financier ou partenaire industriel permettant de s’inscrire dans la durée ».
Ce dernier vœux est également exprimé par Prado Finances qui entend, lui aussi, participer au plan de redressement.
Sur les cinq appareils d’Axis, deux d’entre eux (avec leurs équipages) quitteraient la flotte : Pierre-Olivier Di Fusco est convaincu de l’intérêt d’autres transporteurs pour son B 757-200 ER et pour l’un de ses B737-300.
Axis Airways conserverait alors un B737-300 à Marseille et un autre à Lyon, deux villes au départ desquelles la compagnie assurerait du fret express la nuit et du vol charter le jour. Son B 737-400 resterait à Paris et exécuterait comme prévu les contrats TO.
Au sujet du désaveu de l’actuelle direction de la compagnie par son actionnaire de référence Prado Finances, Pierre-Olivier Di Fusco rappelle que ce dernier n’a plus la main. « Nous allons désormais profiter de la mission d’assistance de Maître Douhaire (l’administrateur judiciaire, ndr) pour traverser aux mieux la période d'observation. Il nous faut aussi trouver un nouvel actionnaire financier ou partenaire industriel permettant de s’inscrire dans la durée ».
Ce dernier vœux est également exprimé par Prado Finances qui entend, lui aussi, participer au plan de redressement.