Sur les 110 vols quotidiens entre la France et la Grande Bretagne, les plus fortes progressions ont été réalisées par la province.
British Airways aime bien la France...et la France le lui rend bien. Entre mars 2004 et avril dernier, la compagnie britannique a enregistré une hausse en volume de 21 % de ses ventes dans l'hexagone vers le Royaume Uni.
« Le chiffre d'affaires est également en hausse mais pas dans les mêmes proportions », précise Patrick Malval, le directeur commercial France de la compagnie. Car pour British Airways, il était important de se repositionner notamment vis-à-vis des low cost.
« Il nous fallait être plus compétitif », résume Patrick Malval. De fait, la compagnie a commencé par simplifier sa structure tarifaire dès juin 2002. Ainsi, la fameuse règle du samedi/dimanche se transformait en 2 nuits sur place. Dans le même temps, des baisses tarifaires de 35 à 40 % étaient également appliquées.
La province à la fête
En mars 2004, la compagnie a de nouveau baissé ses prix de 40 % tout en réduisant les écarts entre ses différents tarifs. « En mai 2005, nos objectifs étaient atteint avec cette hausse de plus de 20 %. »
Sur les 110 vols quotidiens entre la France et la Grande Bretagne, les plus fortes progressions ont été réalisées par la province. Ainsi Toulouse progresse de 61 % avec ses 3 vols quotidiens, Bordeaux de 48 % avec également 3 vols, Lyon de 29 %, Nice de 21 %, Paris de 10 % et Marseille de 6 %.
Pourtant, l’offre s’est considérablement réduite. « Beaucoup de nos concurrents ont soit réduit la capacité ou tout simplement fermé des vols », reconnaît le directeur commercial. Non seulement British Airways a maintenu les siens, mais a même ajouté une fréquence supplémentaire à Marseille et Bordeaux où BA reste seule depuis l’arrêt d’Air France.
Des tarifs aller simple attractifs
« Nous sommes aussi les premiers à permettre à tous nos passagers de choisir leur siège et d’imprimer leur carte d’embarquement sur leur imprimante. Ils peuvent accéder directement à la porte d’embarquement dès leur arrivée à l’aéroport. »
Et depuis le 29 avril, British Airways vient de lancer des tarifs aller-simple. « Nous avons remarqué qu’il y avait une réelle demande sur ce type de voyage. Et il était souvent bien moins cher d’acheter un AR. Aujourd’hui, le one way est vendu à partir de 30 € HT (64 € TTC) depuis Paris et 48 € pour la province (80 € TTC).
« Le chiffre d'affaires est également en hausse mais pas dans les mêmes proportions », précise Patrick Malval, le directeur commercial France de la compagnie. Car pour British Airways, il était important de se repositionner notamment vis-à-vis des low cost.
« Il nous fallait être plus compétitif », résume Patrick Malval. De fait, la compagnie a commencé par simplifier sa structure tarifaire dès juin 2002. Ainsi, la fameuse règle du samedi/dimanche se transformait en 2 nuits sur place. Dans le même temps, des baisses tarifaires de 35 à 40 % étaient également appliquées.
La province à la fête
En mars 2004, la compagnie a de nouveau baissé ses prix de 40 % tout en réduisant les écarts entre ses différents tarifs. « En mai 2005, nos objectifs étaient atteint avec cette hausse de plus de 20 %. »
Sur les 110 vols quotidiens entre la France et la Grande Bretagne, les plus fortes progressions ont été réalisées par la province. Ainsi Toulouse progresse de 61 % avec ses 3 vols quotidiens, Bordeaux de 48 % avec également 3 vols, Lyon de 29 %, Nice de 21 %, Paris de 10 % et Marseille de 6 %.
Pourtant, l’offre s’est considérablement réduite. « Beaucoup de nos concurrents ont soit réduit la capacité ou tout simplement fermé des vols », reconnaît le directeur commercial. Non seulement British Airways a maintenu les siens, mais a même ajouté une fréquence supplémentaire à Marseille et Bordeaux où BA reste seule depuis l’arrêt d’Air France.
Des tarifs aller simple attractifs
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