Il aura fallu attendre un an pour les voir arriver à Paris alors que la gamme a été dévoilée l'année dernière et que la seule Première classe a déjà été remarquée et élue numéro un de sa catégorie dans le classement Skytrax 2008.
Alors à quoi devront s’attendre les passagers de la ligne Paris Hong Kong ? Pour la classe économique, des sièges coques qui s’inclinent sur eux-mêmes sans que le dossier ne bouge, de façon à ce que le passager de la rangée suivante garde le même espace vital. L’écran de télévision a également été légèrement agrandi.
Pour la classe Affaires, Cathay a fait le choix d’un fauteuil qui s’incline jusqu’à rejoindre un tabouret pour réaliser un lit parfaitement horizontal. Les fauteuils étant disposés en épi le long de l’allée centrale de l’avion, la ceinture de sécurité est à trois points au lieu des deux habituels. Cette réorganisation de l’espace permet de maintenir le même nombre de sièges tout en offrant davantage d’intimité aux passagers.
Le fauteuil de la Première classe fonctionne sur le même principe mais avec plus d’espace, plus de confort avec une armoire privative attenante au fauteuil et surtout plus de service : le PNC dresse un vrai lit avec drap et couette dans lequel le passager peut se glisser en pyjama (qu’il trouvera dans son armoire). A noter que les « happy few » ont également droit au caviar (de Gironde). Tout ceci avec un service à la demande…
Alors à quoi devront s’attendre les passagers de la ligne Paris Hong Kong ? Pour la classe économique, des sièges coques qui s’inclinent sur eux-mêmes sans que le dossier ne bouge, de façon à ce que le passager de la rangée suivante garde le même espace vital. L’écran de télévision a également été légèrement agrandi.
Pour la classe Affaires, Cathay a fait le choix d’un fauteuil qui s’incline jusqu’à rejoindre un tabouret pour réaliser un lit parfaitement horizontal. Les fauteuils étant disposés en épi le long de l’allée centrale de l’avion, la ceinture de sécurité est à trois points au lieu des deux habituels. Cette réorganisation de l’espace permet de maintenir le même nombre de sièges tout en offrant davantage d’intimité aux passagers.
Le fauteuil de la Première classe fonctionne sur le même principe mais avec plus d’espace, plus de confort avec une armoire privative attenante au fauteuil et surtout plus de service : le PNC dresse un vrai lit avec drap et couette dans lequel le passager peut se glisser en pyjama (qu’il trouvera dans son armoire). A noter que les « happy few » ont également droit au caviar (de Gironde). Tout ceci avec un service à la demande…
Un hiver prometteur pour la ligne de Paris
Pour la première fois depuis cinq ans, Cathay a annoncé un résultat négatif sur le premier semestre de l’exercice en cours. En cause, une provision exceptionnelle de 468 millions de dollars HK pour couvrir les frais de l’action judiciaire américaine ayant trait aux ententes sur les tarifs cargo dans lesquelles Cathay est impliquée.
Mais surtout, Cathay a souffert de la limitation des surcharges carburant imposée par les autorités de Hong Kong pour protéger le consommateur.
Pour autant, le trafic de la compagnie est en progression. Et l’ouverture timide des vols entre Shanghai et Taipei ne semble pas impacter les ponts aériens de Cathay et de sa filiale Dragonair entre Taipei et Hong Kong (25 vols quotidiens) et Hong Kong et Shanghai (16 vols quotidiens).
La ligne de Paris n’a pas non plus souffert de la désaffection des visiteurs pour la Chine. Les demandes sur le Cambodge, le Vietnam, Bali, l’Australie et même Bangkok ont plus que compensé.
Sur l’hiver, Nicolas Massé, le directeur marketing en France, annonce un volume d’advance booking en ligne avec celui de l’année dernière, aussi bien en classe Eco que dans la haute contribution.
Mais surtout, Cathay a souffert de la limitation des surcharges carburant imposée par les autorités de Hong Kong pour protéger le consommateur.
Pour autant, le trafic de la compagnie est en progression. Et l’ouverture timide des vols entre Shanghai et Taipei ne semble pas impacter les ponts aériens de Cathay et de sa filiale Dragonair entre Taipei et Hong Kong (25 vols quotidiens) et Hong Kong et Shanghai (16 vols quotidiens).
La ligne de Paris n’a pas non plus souffert de la désaffection des visiteurs pour la Chine. Les demandes sur le Cambodge, le Vietnam, Bali, l’Australie et même Bangkok ont plus que compensé.
Sur l’hiver, Nicolas Massé, le directeur marketing en France, annonce un volume d’advance booking en ligne avec celui de l’année dernière, aussi bien en classe Eco que dans la haute contribution.
