Trente adhérents ont rapidement répondu à l’invitation de l’association française des seniors du tourisme (AFST) pour le premier voyage de l’année... en Corée du Nord.
Et c’était une première pour tous ces seniors qui ont quand même fait les cents pas autour de la Terre.
Toujours accompagnés de guides, ils ont sillonné le pays et Pyongyang, une capitale sans pubs commerciales sur ses murs.
Seules trônent les affiches à la gloire du parti des travailleurs, de l’industrie, de l’armée et du président maréchal Kim Jong-un, à coté de son grand-père, fondateur de l’Etat.
Si certaines avenues bordées d’immeubles tristounets et décatis subsistent, ils contrastent avec les buildings ultramodernes récemment sortis de terre.
Au bord du fleuve Teadong, Mirae, la zone chic, loge (gracieusement) les familles de professeurs, ingénieurs de l’université.
De même, le quartier Ryamyong est réservé aussi aux intellectuels scientifiques. Inauguré en 2017, au terme d’un chantier de seulement un an, il est, selon Kim Jong-un, « une rue du XXIe siècle, verte et économique sur le plan énergétique ».
Et c’était une première pour tous ces seniors qui ont quand même fait les cents pas autour de la Terre.
Toujours accompagnés de guides, ils ont sillonné le pays et Pyongyang, une capitale sans pubs commerciales sur ses murs.
Seules trônent les affiches à la gloire du parti des travailleurs, de l’industrie, de l’armée et du président maréchal Kim Jong-un, à coté de son grand-père, fondateur de l’Etat.
Si certaines avenues bordées d’immeubles tristounets et décatis subsistent, ils contrastent avec les buildings ultramodernes récemment sortis de terre.
Au bord du fleuve Teadong, Mirae, la zone chic, loge (gracieusement) les familles de professeurs, ingénieurs de l’université.
De même, le quartier Ryamyong est réservé aussi aux intellectuels scientifiques. Inauguré en 2017, au terme d’un chantier de seulement un an, il est, selon Kim Jong-un, « une rue du XXIe siècle, verte et économique sur le plan énergétique ».
L’AFST fait exploser la statistique !
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Autre record de construction : la gigantesque cité des sciences et technologies, en forme d’atome avec musée, centre de recherche, de conférence, université, bibliothèque, bâtie en moins de six mois sur une île du fleuve. 4 000 panneaux solaires produisent son électricité.
Étonnantes aussi les rues, sans voiture ou presque, mais bordées de pistes cyclables, par la force des choses.
Surprenantes également, les gigantesques places et les monuments cultes où l’on dépose des monceaux de fleurs les jours anniversaire. On s’inclinera aussi aux mausolées après une interminable attente dans la file.
Renversant enfin, et époustouflant par sa perfection, le cirque de Pyongyang, à mettre au rang des plus grands du monde. Un spectacle à ne pas manquer - si on trouve une place !
C’est dans ce monde si différent que trente « Afstistes » ont « passé (selon un avis partagé) de très bons moments, malgré la difficulté à marcher, parfois, en ligne par quatre et à se courber » - ce qui, disons-le, n’est pas vraiment dans nos réflexes culturels.
Pour Edouard George, président de Phoenix Voyages et réceptif, amoureux de cette terre, qui faisait le voyage pour la cinquantième fois, « la Corée du nord, c’est la dernière frontière ». Une frontière que seuls 200 Français ont franchie en 2017.
Si bien que, sans le vouloir, l’AFST a fait bondir la statistique de 15% !
Étonnantes aussi les rues, sans voiture ou presque, mais bordées de pistes cyclables, par la force des choses.
Surprenantes également, les gigantesques places et les monuments cultes où l’on dépose des monceaux de fleurs les jours anniversaire. On s’inclinera aussi aux mausolées après une interminable attente dans la file.
Renversant enfin, et époustouflant par sa perfection, le cirque de Pyongyang, à mettre au rang des plus grands du monde. Un spectacle à ne pas manquer - si on trouve une place !
C’est dans ce monde si différent que trente « Afstistes » ont « passé (selon un avis partagé) de très bons moments, malgré la difficulté à marcher, parfois, en ligne par quatre et à se courber » - ce qui, disons-le, n’est pas vraiment dans nos réflexes culturels.
Pour Edouard George, président de Phoenix Voyages et réceptif, amoureux de cette terre, qui faisait le voyage pour la cinquantième fois, « la Corée du nord, c’est la dernière frontière ». Une frontière que seuls 200 Français ont franchie en 2017.
Si bien que, sans le vouloir, l’AFST a fait bondir la statistique de 15% !