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Patrick Saluden, directeur général d’Eurolines France
Bienvenue aux Eurofestives ! Entrée gratuite pour tous, samedi, Terminal Jules Verne, sous l’esplanade de La Défense. Musique, maquillages, jeux, stands culinaires et bal populaire étaient au programme. Eurolines proposait un après-midi et une soirée entière destinée à fidéliser les voyageurs (200 000 en 2005) et à en conquérir bien d’autres.
L’autocariste européen avait opté pour une présentation ludique de l’Ibérie. « L’Espagne et le Portugal représentent au bas mot 35 % de la fréquentation d’Eurolines, ce sont les deux premières destinations, devant le Maroc et l’Allemagne », constate Patrick Saluden, directeur général d’Eurolines France. Près de deux cents villes de la péninsule sont desservies depuis l’hexagone.
La Grande-Bretagne, en revanche, n’est plus un marché phare pour le premier autocariste européen. Il y a encore quatre ans, elle constituait 16 % de notre clientèle, et aujourd’hui, seulement 6 %. Une baisse attribuée à « la concurrence aérienne des low-cost, de l’Eurostar, et des Ferries, qui ont cassé les prix. »
L’Espagne et le Portugal : 35 % du CA d'Eurolines
Les clients perdus outre-Manche, Eurolines compte bien les regagner à l’Est. « Récemment, nous avons ouvert une ligne sur la Bosnie, et la liaison avec Sarajevo fonctionne très bien », se réjouit le directeur général. Sur cet élan, l’été sera propice à d’autres départs pour le Sud, en particulier vers l’Algérie, via Alicante.
La traversée entre le port espagnol et la ville d’Oran sera de douze heures. « On va faire une dizaine d’allers-retours pour tester ce marché. » L’un des arguments forts de ce positionnement est de palier une restriction prise par le gouvernement de Ahmed Ouyahia à l’automne.
Depuis le 26 septembre en effet, il est interdit d’importer en Algérie des voitures de plus de trois ans. « Or, beaucoup d’Algériens descendaient en voiture par le ferry, et la revendaient pour payer leur retour. » Désormais, les usagers pourraient vouloir se tourner vers le car. « On pense qu’un service comme celui d’Eurolines, qui permet notamment d’amener pas mal de bagages avec soi, peut répondre à leurs attentes. »
L’autocariste européen avait opté pour une présentation ludique de l’Ibérie. « L’Espagne et le Portugal représentent au bas mot 35 % de la fréquentation d’Eurolines, ce sont les deux premières destinations, devant le Maroc et l’Allemagne », constate Patrick Saluden, directeur général d’Eurolines France. Près de deux cents villes de la péninsule sont desservies depuis l’hexagone.
La Grande-Bretagne, en revanche, n’est plus un marché phare pour le premier autocariste européen. Il y a encore quatre ans, elle constituait 16 % de notre clientèle, et aujourd’hui, seulement 6 %. Une baisse attribuée à « la concurrence aérienne des low-cost, de l’Eurostar, et des Ferries, qui ont cassé les prix. »
L’Espagne et le Portugal : 35 % du CA d'Eurolines
Les clients perdus outre-Manche, Eurolines compte bien les regagner à l’Est. « Récemment, nous avons ouvert une ligne sur la Bosnie, et la liaison avec Sarajevo fonctionne très bien », se réjouit le directeur général. Sur cet élan, l’été sera propice à d’autres départs pour le Sud, en particulier vers l’Algérie, via Alicante.
La traversée entre le port espagnol et la ville d’Oran sera de douze heures. « On va faire une dizaine d’allers-retours pour tester ce marché. » L’un des arguments forts de ce positionnement est de palier une restriction prise par le gouvernement de Ahmed Ouyahia à l’automne.
Depuis le 26 septembre en effet, il est interdit d’importer en Algérie des voitures de plus de trois ans. « Or, beaucoup d’Algériens descendaient en voiture par le ferry, et la revendaient pour payer leur retour. » Désormais, les usagers pourraient vouloir se tourner vers le car. « On pense qu’un service comme celui d’Eurolines, qui permet notamment d’amener pas mal de bagages avec soi, peut répondre à leurs attentes. »
