La Fédération nationale de l'aviation marchande a présenté mardi 8 octobre 2013, les conclusions d'une étude entreprise depuis 2011 à la demande de la DGAC pour cerner l'impact économique de l'aviation générale et d'affaires c'est à dire les activités autres que le transport aérien commercial - principalement jet privés et hélicoptères.
Première surprise, le nombre d'heures de vol réalisés par l'aviation générale et d'affaires s'élève à 1,9 million tandis que celui du transport aérien commercial n'est que de 1,1 million d'heures de vol. 91% des aéronefs immatriculés en France appartiennent à la catégorie de l'aviation générale et d'affaires.
La FNAM estime l'impact économique de ce secteur à 4 milliards d'euros générant 9650 emplois directs et 20900 emplois indirects. L'importance de cette activité est surtout ressentie en régions.
La fédération en appelle donc à préserver les infrastructures aéronautiques en région mais les défis de cette activité seront surtout liés à la réglementaire française ou européenne. Pour éviter de mettre l'aviation générale et d'affaires en position de faiblesse par rapport à la concurrence européenne, une harmonisation fiscale s'impose.
Première surprise, le nombre d'heures de vol réalisés par l'aviation générale et d'affaires s'élève à 1,9 million tandis que celui du transport aérien commercial n'est que de 1,1 million d'heures de vol. 91% des aéronefs immatriculés en France appartiennent à la catégorie de l'aviation générale et d'affaires.
La FNAM estime l'impact économique de ce secteur à 4 milliards d'euros générant 9650 emplois directs et 20900 emplois indirects. L'importance de cette activité est surtout ressentie en régions.
La fédération en appelle donc à préserver les infrastructures aéronautiques en région mais les défis de cette activité seront surtout liés à la réglementaire française ou européenne. Pour éviter de mettre l'aviation générale et d'affaires en position de faiblesse par rapport à la concurrence européenne, une harmonisation fiscale s'impose.
Autre conclusion importante de l'étude, l'aviation générale est un "réservoir des futurs professionnels du milieu aérien".
Or, même si le transport aérien français est en déclin, selon les propres termes d'Alain Battisti, le président de la FNAM, ce secteur de l'économie française, en comptant l'aviation commerciale , pèse tout de même 70 milliards d'euros.
Or, même si le transport aérien français est en déclin, selon les propres termes d'Alain Battisti, le président de la FNAM, ce secteur de l'économie française, en comptant l'aviation commerciale , pèse tout de même 70 milliards d'euros.