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Bizarre, cette lettre anonyme qui nous est parvenue en début de semaine dernière à la rédaction.
Une lettre envoyée par la poste (eh oui, dans ce cas-là, la poste c'est pratique).
Sur l'enveloppe, timbrée, une écriture d'enfant, à moins que ce soit un gaucher qui ait écrit de la main droite (ou vice-versa)…
L'enveloppe recelait une simple feuille de papier, dactylographiée.
Un titre, "La rentrée est chaude chez Havas…"
Suivait une très courte diatribe, issue d'un producteur très certainement mécontent, aigri, en mal de reconnaissance… ou tout simplement incompétent, lequel sans doute écarté du référencement de ce réseau se répandait en invectives peu ragoutantes.
A une autre époque, une telle missive aurait déclenché les foudres gestapistes et envoyé rapidement les membres du réseau en question direct dans des camps de sinistre mémoire.
Moi, perso, ça ne me gêne pas d'être pris pour un c.... Ça me fait même plutôt sourire. En revanche, contrairement à ce que certains croient, ou supputent (ça c'est pour mon copain Gallo, je sais qu'il aime bien quand je suppute, salut l'ami), nous vérifions toujours les informations. Eh oui…
Bien évidemment, il ne m'a pas fallu longtemps pour découvrir que tout ceci n'avait pour but, de la part de l'anonyme indélicat, de se servir de la presse afin de masquer sa propre incompétence.
Et, pour faire bonne mesure, de rejeter sa propre malhonnêteté sur son interlocuteur.
Une lettre envoyée par la poste (eh oui, dans ce cas-là, la poste c'est pratique).
Sur l'enveloppe, timbrée, une écriture d'enfant, à moins que ce soit un gaucher qui ait écrit de la main droite (ou vice-versa)…
L'enveloppe recelait une simple feuille de papier, dactylographiée.
Un titre, "La rentrée est chaude chez Havas…"
Suivait une très courte diatribe, issue d'un producteur très certainement mécontent, aigri, en mal de reconnaissance… ou tout simplement incompétent, lequel sans doute écarté du référencement de ce réseau se répandait en invectives peu ragoutantes.
A une autre époque, une telle missive aurait déclenché les foudres gestapistes et envoyé rapidement les membres du réseau en question direct dans des camps de sinistre mémoire.
Moi, perso, ça ne me gêne pas d'être pris pour un c.... Ça me fait même plutôt sourire. En revanche, contrairement à ce que certains croient, ou supputent (ça c'est pour mon copain Gallo, je sais qu'il aime bien quand je suppute, salut l'ami), nous vérifions toujours les informations. Eh oui…
Bien évidemment, il ne m'a pas fallu longtemps pour découvrir que tout ceci n'avait pour but, de la part de l'anonyme indélicat, de se servir de la presse afin de masquer sa propre incompétence.
Et, pour faire bonne mesure, de rejeter sa propre malhonnêteté sur son interlocuteur.

Eh bien non, je ne joue pas dans cette cour-là, que ce soit très clair !
C'est surement vrai, les négociations de référencement entre réseaux et fournisseurs sont souvent ardues, parfois intense, souvent délicates. Une discussion d'affaires, c'est pas le pays des Bisounours, ça c'est sûr, Arthur.
Il est normal, dans n'importe quelle négociation commerciale, de vouloir payer le moins cher pour avoir le maximum. C'est pas nouveau.
Tous les arguments sont bons… mais pas les dénonciations anonymes, surtout avec des chiffres éhontément mensongers. J'ose espérer quand même qu'il existe encore une certaine déontologie.
Bien sûr, les rapports entre producteurs et distributeurs sont plutôt tendus… et je crois que c'est un euphémisme. Le problème étant quand même que, pour défendre leur bout de gras, les distributeurs restent quand même beaucoup plus unis que les producteurs, lesquels avancent en ordre complètement dispersé. Et que, unis en façade, chacun joue cependant sa propre partition.
C'est bien beau de monter un syndicat de producteurs. Après tout pourquoi pas? Mais dans le rapport de forces qui, sournoisement, est en train de s'instaurer entre ces deux grands métiers, il est très clair que les producteurs sont plus faibles… C'est clair.
D'où, d'ailleurs, cette envie de se faire distribuer de plus en plus en direct. Et pourtant, certains réseaux offrent de véritables services, qu'il convient de rétribuer aussi à leur juste mesure.
Encore faut-il que chacun respecte sa part du contrat. Certains le font, d'autres pas.
Et, pour en revenir à ces anonymes qui espèrent régler leurs comptes par délation éhontée, qu'ils se rassurent aussi. J'ai les noms !
C'est surement vrai, les négociations de référencement entre réseaux et fournisseurs sont souvent ardues, parfois intense, souvent délicates. Une discussion d'affaires, c'est pas le pays des Bisounours, ça c'est sûr, Arthur.
Il est normal, dans n'importe quelle négociation commerciale, de vouloir payer le moins cher pour avoir le maximum. C'est pas nouveau.
Tous les arguments sont bons… mais pas les dénonciations anonymes, surtout avec des chiffres éhontément mensongers. J'ose espérer quand même qu'il existe encore une certaine déontologie.
Bien sûr, les rapports entre producteurs et distributeurs sont plutôt tendus… et je crois que c'est un euphémisme. Le problème étant quand même que, pour défendre leur bout de gras, les distributeurs restent quand même beaucoup plus unis que les producteurs, lesquels avancent en ordre complètement dispersé. Et que, unis en façade, chacun joue cependant sa propre partition.
C'est bien beau de monter un syndicat de producteurs. Après tout pourquoi pas? Mais dans le rapport de forces qui, sournoisement, est en train de s'instaurer entre ces deux grands métiers, il est très clair que les producteurs sont plus faibles… C'est clair.
D'où, d'ailleurs, cette envie de se faire distribuer de plus en plus en direct. Et pourtant, certains réseaux offrent de véritables services, qu'il convient de rétribuer aussi à leur juste mesure.
Encore faut-il que chacun respecte sa part du contrat. Certains le font, d'autres pas.
Et, pour en revenir à ces anonymes qui espèrent régler leurs comptes par délation éhontée, qu'ils se rassurent aussi. J'ai les noms !
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