La case de l'Oncle Dom : petit à petit la Sélectourie fait son nid !

Et hop, c'est fait !

Malgré une élection "à l'arrachée", c'est bien, comme je le prévoyais, en juillet dernier (LIRE) Jean-Marie Séveno qui sera en charge de présider Selectour Afat Entreprise.

Et, pour faire bonne mesure, assurera aussi la Direction Générale.

Tant qu'à faire, ça simplifie et puis, faut bien vivre, n'est-il pas ?

C'était d'ailleurs pas la peine d'attendre si longtemps pour entériner une décision qui était déjà dans les cartons depuis les dernières élections.

Et c'était surtout pas la peine de mener des réflexions aussi inutiles que vaseuses sur la détermination du profil idéal d'un Directeur Général de ce grand réseau.

C'est aussi un bon point pour Jean-Pierre Mas, qui n'a pas menti, ce qu'il ne fait jamais…

Il n'aura pas la présidence d'Entreprise, mais aura entièrement bétonné la gouvernance du réseau… et conservé quand même une petite présidence : la Commission Finances.

Ce qui est quand même loin d'être négligeable et permet, mine de rien, de conserver un œil (et la main) sur les grandes questions de l'entreprise.

Bernard Garcia revient, après une petite traversée du désert. Traversée du désert qui peut paraître longue pour ceux qui la subissent.

Et je dois dire, à la décharge de Garcia, souvent décrié, lui-même peut-être un peu "fougueux" dans certaines déclarations ou attitudes, qu'il aura au moins eu l'honnêteté de s'écarter volontairement lorsque les circonstances l'exigeaient.

Qu'il revienne maintenant dans la lumière et à la présidence de Selectour Afat Tourisme et Affaires, pourquoi pas.

L'homme est compétent, de même que Pons à la tête de l'Alliance T. La rémunération est confortable…

En revanche, dans tout ce qui semble maintenant en ordre de marche, reste encore un léger relent de souffre.

Si je ne m'abuse, les statuts du réseau sont assez clairs en ce qui concerne les paiements des membres vis-à-vis de la CRF.

Un membre qui ne parvient pas à acquitter ses factures, même en demandant certains délais, ne peut, décemment, s'accrocher à un poste d'administrateur.

La moindre des choses, vis-à-vis des membres qu'il est censé administrer et protéger les intérêts, serait de démissionner. Non ?

D'accord, malgré les engagements de campagne pris par l'équipe dirigeante, la communication à l'intérieur du réseau est encore un peu balbutiante.

Et sans doute que les adhérents n'ont pas tous connaissance de ce qui se passe la haut, au siège.

Un peu dommage. Et, en toute honnêteté, il est un peu regrettable qu'un Président de Commission, chargé de la communication, puisse refuser, alors qu'il y a du flou, de quitter son poste d'administrateur ?

D'autant que le choix d'une nouvelle société, curieusement située dans le même périmètre que lui, ait été entériné sans souci. Un truc télévisuel pour les nouvelles vitrines…

S'abstenir de siéger au Conseil d'Administration est quand même la moindre des choses…

Allez, encore un peu de ménage, un peu de transparence et ça va le faire !

Y'a qu'à demander à Mango…